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Mes pensées vont d'abord à la famille et aux proches de la victime décédée. À la suite de cette tragédie, ce sont tous les Québécois qui sont en deuil aujourd'hui devant un tel acte de violence gratuite. Jamais une société comme la nôtre ne laissera la violence dicter ses choix collectifs. C'est par la voix démocratique qu'il faut s'exprimer, comme les Québécois ont pu le faire hier. Pauline Marois