Bernay essuie encore des dégradations gratuites du bien public.
Non, ce ne sont plus (du moins pour le moment) les pend de vitre de verre des arrêts des bus de ville qui sont la cible de la petite délinquance locale, mais sur le coup se sont les œuvres fabriquer par les enfants du centre de loisirs qui sont visée.
Vous comprendrez alors l'émoi que la population essuie sur le quartier du stade.
Essayer de comprendre pourquoi, oui, essayer ceci, cela ne sert à rien.
Car ils et des actes qu'il ne faut pas chercher à analyser tant ils sont emprunts de bêtise humaine simple.
Sans pour autant tombée dans une sorte de corrélation entre les propos récents du ministre de l'Intérieur Mr "Valls" et ce qui se passe à Bernay.
Ensemble d'idée qui voudrait, comme un ami "FB" s'est permis de le faire, en comparent donc "Les ennemis de la France" et la petite délinquance Bernayenne.
Je crois qu'il ne faut pas tout confondre ici et arrêter de faire comme je l'ai dit une sorte de décrédibilisation du gouvernement en place, car l'affaire qui nous préoccupe ici n'est pas du niveau des "Ennemis" de la nation.
Bref, malgré tous, nous nous posons tout de même les questions suivantes :
"Qui, quand, pourquoi ?".
Oui, questions que l'on est en droit de se posées quant-ont voit ce qu'il est advenue de la maison en bauge construite par les enfants du centre de loisirs il y a 4 - 5ans de cela.
En effet, avec effarement, on a pu que hélas, constater sa destruction.
Alors, plutôt que de s'affoler, de porter des jugements hâtifs et/ou des soupçons faciles, je crois que trouver les raisons de ce saccage serait plus utile, non ?
Les saccages me diraient vous sont simple, détruire pour le simple fait de détruire s'en autre idée plus vicieuse.
Alors, oui, hélas, Bernay subit divers saccages - destructions tout au long des années.
Oui, Bernay essuie des destructions de biens publics de ce gabarit-là, donc voilà.
Punir oui, mais le plus important pour moi reste le fait de la reconstruction, non?
Oui, reconstruire, car l'un dans l'autre cela fera faire aux enfants l'apprentissage du travail d'équipe et tenteras de porter les jeunes vers le concept d'un respect de la chose mis sur pied et finalisé.
Fierté de la belle ouvrage - fierté d'y avoir participé et enfin, fierté de voir se pérennisé un endroit - un lieu pour que leurs propres enfants un jour puissent voir le travail de leurs pères, belles intentions non ?
Alors, dans l'idée, avant de voir ce lieu détruit il faut savoir qu'au sein du centre de loisirs il est parfois monté des projets un peu plus grands qu'un simple thème pour occuper les enfants (le monde Celtique fut choisi pour l'été 2012).
Ainsi, des projets tels que la construction de ce genre de maison voient le jour.
Aider d'artisans, ils apprennent ainsi à fabriquer la bauge, à savoir comment crée une ossature tout en bois, et aussi à poser cette même bauge dessus.
Eh oui, on se salit partout.
Eh oui, on a les mains lourdes (rire), mais tous en garde un beau souvenir.
Cela fait voir à nos têtes blondes comment d'autres peuples (Afrique) ou même nos ancêtres (Celtes et/ou Gaulois) pouvaient fabriquer leurs camps et maisons (hutte).
Ici une maison en bauge, là un four à pain, ailleurs une cabane.
Ils pourraient ceux-là construire un vrai mini camp si on ne les retenait pas (rire).
Alors, j'avoue, qu'un matin s'apercevoir que la bâtisse que leurs petites mains on fait naitre soit détruit gratuitement comme ça pour le plaisir de saccagé, détruire un bien bâtit par et pour la communauté laisse un goût amer.
Alors, outre la désolation de base, la population du quartier et de la ville en générale peut être touchée de cet acte gratuit qui là, hélas, n'apporte pas de crédits à ceux ou celles qui jouent les destructeurs.
Alors, ma question est :
"Comment faire prendre conscience aux habitants d'un quartier du bien fondés de ce genre de constructions ?"
Alors, après on peut se demander :
"Doit-on fliquer, surveiller, mettre sous caméras les lieux de ce genre ?"
Car après avoir essuyé un feu volontairement destructeur de l'école Jean Moulin puis de réguliers vols au sein du centre de loisirs lui-même on ne sait plus quoi faire.
Car s'il n'y avait eus que la destruction de cette cabane en bauge regrettable en soit, bon, quelques par voilà.
Mais hélas, le parterre fleurit fabriquer à quelques mètres de là par les services municipaux et/ou les enfants eux-mêmes (sorte de léger fleurissement environnemental) furent eux aussi détruits (voir la photo d'illustration) ce qui nous laisse la voir que c'est détruire juste pour faire nuire.
Pour cassé pour s'amuser sous des effluves d'alcools et/ou de stupéfiants.
Je ne sais pas si une enquête de gendarmerie (même basique) a était ouverte sur cet acte, je ne sais pas si le maire et le directeur du centre de loisirs on déposer une plainte contre "X", mais bon.
Trouver les responsables serait bien, oui.
Mais ensuite, outre une peine juridique de base elle aussi, il serait de bon ton je crois de leurs imposer, comme je l'écrivais sur "FB", de reconstruire à l'identique des murs à la toiture cette cabane en bauge.
Cela s'en doute, leurs feras-t'ils (j'ose l'espérer) comprendre à c'est délinquants-là ce que le mot "Bâtir" avec s'est mains et avec force un lieu peut être remplis de symbolisme.
Et si après l'avoir remis sur pied ils voyaient eux aussi à leur tour leurs constructions détruites par d'autres, peut-être donc réagiraient-ils d'une autre manière, non ?
Photographies : "Destruction de la cabane en bauge du centre de loisir de Bernay" par le citadin septembre 2012 ©®.
Aucun lien internet pour cet article.