En 2050, tous végétariens ?

Par Nada @nada

Loin de moi l’idée de faire du militantisme car cela serait vain ; il appartient à chacun d’agir en fonction de ses idées. J’ai cependant trouvé cette information fortement intéressante et il me semblait essentiel de la partager.


On estime que l’homme tire 20% de ses protéines de la consommation de produits d’origine animale. Le 26 août dernier, une étude publiée par l’Institut International d’étude de l’eau de Stockholm révélait que l’homme devrait réduire sa  consommation à 5% s’il ne voulait pas devenir végétarien par la force des choses d’ici moins quarante ans.

Attention, “vegan” signifie “végétalien” ce qui est un régime bien plus délicat à suivre.

Pourquoi ? C’est très simple : la population mondiale augmente et atteindra peut-être 9 milliards d’individus d’ici l’an 2050. Tant de bouches à nourrir constituent autant d’animaux à élever. Or on sait qu’élever du bétail nécessite une grande quantité de végétaux, végétaux gloutons en eau. Pour les scientifiques, la nécessité en eau d’un régime à base de viande est 10 fois supérieure à celui d’un végétarien. Dans son documentaire Home (2009), Yann Arthus Bertrand nous expliquait également que la surconsommation de viande participait à la faim dans le monde puisque seulement 20% de la poulation du monde utilisent 80% des richesses de la Terre.

Les associations écologistes tirent d’ailleurs la sonnette d’alarme d’ailleurs depuis plusieurs années : si l’être humain ne réduit pas sa consommation de viande tout de suite, d’ici peu il n’aura guère plus le choix ; il en va de la survit de la planète !
Comme l’a très justement indiqué le Huffington Post, contrairement aux idées reçues, un certain nombre de végétaux sont en fait bien plus riches en protéines que les produits d’origines animales. Lorsqu’on voit la musculature de Carl Lewis, Djamel Bouras, Marie-Claude Pietragalla ou Jean-Claude Van Damme je veux bien les croire !