Dans l'espace infini (de la ville) personne ne t'entendra pleurer. Alors, tu ramasses ton vélo et tu repars, c'est le métier de vivre qui rentre. Ne t'inquiète surtout pas bonhomme, tu t'en mangeras plein des boites à lettres de ce genre et en retour tu auras le silence assourdissant de l'indifférence générale. Tu es seul, tu es sur ton vélo, alors fais gaffe aux boites à lettres, leur sournoise quotidienneté fait que tu ne les vois plus.