Il n'y a guère, il était de bon ton de monter M. Sarkosi en suiveur de la Chancelière. L'Histoire dira probablement que le dialogue fut plus équilibré. Notre Président Normal s'était fait fort de changer la donne et d'infléchir la politique Européenne vers une vision sociale et solidaire.
Il semble bien, à l'entendre sur la situation grecque, que notre Président se soit laissé circonvenir, et que la position allemande soit devenue subitement celle de notre Président.
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