Le martyre de l'Eglise se poursuit dans le monde.
Après l'Irak, la Chine, on découvre les souffrances des chrétiens en Inde à l'occasion des fêtes de Pâques, passées loin de leurs églises détruites, dans l'obscurité (les fondamentalistes hindouistes ayant détruit les lignes éléctriques), dans le souvenir des religieuses agressées la semaine précédente, etc.
Le point de l'Aide à l'Eglise en détresse permet de connaître l'historique de ces persécutions.
Hier, le Père Ajay Singh déclara : "Ils veulent empêcher les chrétiens de célébrer Pâques".
Mgr Raphaël Cheenath,
archevêque de Cuttack-Bhubaneswar, dans son homélie de Pâques : "Notre peuple a vraiment fait l’expérience de la passion et de la
mort de Jésus".
Les sous-titres de cet article de la Croix en disent assez pour susciter l'envie d'en connaître davantage :
- Ce "tsunami de haine" n’avait rien de spontané
- Les policiers sont pro-hindous
- Les fondamentalistes hindous détruisent les églises
- Des violences antichrétiennes à travers toute l’Inde
- Aucune aide du gouvernement pour les familles chrétiennes
Voici une intention de prières dans la communion des saints mais aussi une juste cause d'indignation et de condamnation. Mais qui va la saisir?
PS : un reportage de TF1 ici.