Dénommé également « empreinte hydrique ».
En quoi cela consiste-t-il? Notre consommation d’eau intelligente ou non, directe ou indirecte.
On pourrait penser au vue de toute l’eau qui nous est tombée – ces derniers mois – sur la tête que l’on ne devrait pas trop s’inquiéter : de l’eau il y en a !
Et pourtant, l’eau potable est une ressource qui se raréfie.
Alors que l’on sait que l’industrie agricole est un des plus grands « buveurs » d’eau, nous avons également notre rôle à jouer.
Comment? A côté de notre consommation d’eau directe (à la maison, le jardin, …), il faut aussi porter notre attention sur notre consommation indirecte d’eau … autrement dit derrière chaque produit acheté en grande surface une quantité (utile ou inutile) d’eau a été employée.
Par exemple, remplacer le coton pour se démaquiller par des lingettes de fibres artificielles. Remplacer le café par le thé, réduire sa consommation de viande …
Sur le site Waterfootprint.org, vous pourrez y trouver des informations :
- une galerie de produits avec la démonstration de l’empreinte hydrique de certains produits
- un outils de calcul de son empreinte hydrique personnelle
J’ai testé la feuille de calcul. Voici mon résultat:
Mon empreinte hydrique
Ok maintenant je connais plus au moins ma consommation d’eau. Et puis quoi? Que dois-je en conclure? Je n’ai aucun benchmark auquel me référencer. Suis-je dans le bon? Les résultats flottent sans une seule explication.
Je suis obligée d’aller voir dans la section « National water foot print », sélectionner mon pays de résidence … et hop des données statistiques basiques (moyenne/capita) sont fournies.
Bon un peu décevant et pas très pratique.