Il était le dernier relayeur de la première journée…
Avec émotion, Nikos Aliagas a porté la flamme olympique (sur 2 kms) jusque dans l’enceinte sacrée de Missolonghi, le village natal de ses parents, village martyr lors de l’attaque turque en 1824.
“Ce fut un grand honneur pour moi de participer à cet événement. (…) Cela dépasse le cadre des Jeux Olympiques, c’est un message de paix et de tolérance qui est envoyé au monde. J’ai fortement pensé au peuple du Tibet. Je souhaite que lorsque la flamme traversera leur continent, elle puisse apporter un peu plus de paix entre les hommes ».
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