Mais puisque le premier ministre tente ainsi de nous ostraciser à travers notre ancien candidat, nous saurons nous rappeler autrement que par les urnes à son bon souvenir… La situation catastrophique de notre pays mérite en effet bien mieux que ces mots de basse-cour. A-t-on encore le droit de dire aujourd’hui dans ce pays que l’on n’est pas satisfait de l’action gouvernementale et que sa tiédeur est sans commune mesure avec la gravité de la situation sans s’attirer la haine ou le mépris ?
Il apparaît que ce gouvernement là supporte bien mal la critique. Il devrait pourtant s’y faire, car demain, au vu de la fadeur des mesures prises, ce sera encore pire. Surtout si l’on affiche envers ceux qui ont soutenu le candidat Hollande malgré leurs divergences une telle suffisance hautaine.