Retarder encore l’entrée en vigueur de la décision populaire claire et précise montre à quel point le gouvernement pédale dans le yaourt dans la mise en application de l’initiative Weber.
Il n’existe juridiquement aucun délai pour qu’un article constitutionnel adopté en votation populaire entre en vigueur.
Tout retard dans sa mise en œuvre relève de la basse manœuvre pour arranger les bidons des pauvres valaisans et des milieux immobiliers.
Ces derniers ne tarderont d’ailleurs pas à s’apercevoir qu’ils ont mal joué: les oppositions qui bloquent les dossiers déposés en masse ne leur permettront pas d’être à l’heure pour contourner une fois encore la loi.