Pour rappel, Kôshun est un cultivar connu pour son parfum très personnel, au même titre que Inzatsu 131 ou Sôfû, entre autres. En fait, je ne pense pas qu'il se prêtent très aux expériences à cause de sa tendance à l'astringence. Je vous invite à lire l'article sur la version 2011.
5 très gros grammes infusés pendant 1 min 20 s dans 60 ml de l'eau à 60°C environ.
Je parlais en début d'article de "semblant" d'expérience, car je n'ai pas fait ces deux tests au même moment, l'envie de tester des paramètres semblables ne m'étant venu que plus tard, alors que je comptais infuser cette fois ce Kôshun selon une méthode plus soft, pour bien profiter de ce cultivar que j'aime tant.
Pourtant, il m'a semblé que le résultat obtenu était assez semblable, le parfum était déjà tout aussi fort dans le shibori-dashi en porcelaine, et si il y a avec cette terre un adoucissement de l'astringence, celui-ci est léger.