Drop Dead Diva // Saison 4. Episode 11. Family Matters.
J'ai beau beaucoup apprécié Drop Dead Diva en temps normal, cette saison 4 finie en eau de boudin. Franchement, je ne m'attendais à être aussi déçu de l'évolution de cette saison. Par rapport aux
trois précédentes, elle apparait clairement comme en deçà de ce que l'on peut attendre de la série. Elle était bien plus fun avant. La semaine dernière, le 4.10 était une vraie catastrophe. Les
intrigues étaient pour la plupart assez mauvaises, et le tout manquait clairement son objectif de départ. Je n'en ai pas gardé un bon souvenir, vous l'aurez compris. Du coup, cette semaine
Grayson et Kim sont chargés de représenter un donneur de sperme… gay. Aux Etats-Unis ou en tout cas dans l'Etat de Californie, c'est apparemment interdit de donner son sperme si l'on est gay.
L'idée de base était très bonne, et pourtant, elle n'a rien de très passionnante. En effet, hormis le départ et la fin de l'intrigue, le creux de l'épisode perd complètement le rythme. On a
l'impression de retrouver une série molle.
Ce n'est pas la faute du duo Grayson / Kim qui lui aussi fonctionne à merveille. Pendant ce temps, Jane représente une amie d'Owen dont la fille a finie à l'hôpital après une rave party. Là
encore, Drop Dead Diva tente le cas d'école et surtout celui des rave party. C'est un sujet houleux, notamment pour son parallèle avec la drogue. Cela aurait pu être bien pire là aussi, mais ce
n'est pas non plus transcendant. Je me suis pas mal ennuyé dans le creux de l'épisode. J'en attendais peut être trop. En tout cas, cela va encore permettre à Owen et Jane de se rapprocher. Je
n'ai pas spécialement de reproche à faire à ce petit couple si ce n'est qu'il ne parvient pas à évoluer. Ils ne nous offrent pas grand chose de très novateur. A mon grand damne. Drop Dead Diva
nous offre donc des affaires intéressantes mais qui connaissent le creux de l'épisode. Ce moment où l'on rame pour nous offrir quelque chose d'un tantinet passionnant. J'avais envie d'en voir
plus, et d'en savoir plus. Mais rien n'y fait.
Note : 4.5/10. En bref, déception… quand tu nous tient.