Cette condamnation sanctionne trois jeunes femmes dont le tort est d’avoir chanté en février une « prière punk » dans la cathédrale du Christ-Sauveur à Moscou. A travers cette sentence, c’est la liberté de création et la liberté d’expression qui se trouvent remises en cause.
Tout en espérant que les voies d’appel permettront de revenir sur cette sanction, la ministre des droits des femmes, porte-parole du Gouvernement, rappelle l’attachement de la France à la liberté d’expression, valeur essentielle de nos démocraties.