Netscape annonce ce mois çi la fin du support de son navigateur web historique. Au milieu des années 90, Netscape Navigator était majoritairement utilisé par 80% des internautes alors que le World Wide Web n'en était qu'à ses premiers balbutiements.Cet évènement est l'occasion de faire ici un point sur l'ergonomie de l'interface des navigateurs web, alors que de nos jours le navigateur de Microsoft, Internet Explorer, est utilisé par les deux tiers des internautes.
Le message de mise à niveau à l'intérieur de la dernière version de Netscape Navigator propose le téléchargement des navigateurs multi-platefome Mozilla Firefox (qui est déjà largement répandu), et Flock. En comparaison des autres navigateurs, Flock intègre en natif des fonctionnalités supplémentaires qui sont liées aux nouveaux usages du web : services de "réseaux sociaux", de publication et de partage d'images, photos, vidéo, publication de billets de blogs, géolocalisation, etc.
Certains de ces services existent depuis un certains temps, d'autres sont récents. Il serait difficile de dire aujourd'hui s'il s'agit de phénomènes de modes ou si ces services constituent une évolution durable de l'utilisation du web. Pour l'instant une très grande partie des internautes n'utilisent certainement pas encore ces services. Flock est-il simplement un gadget pour internaute "branché" ou exigeant ? Une chose est sûre, Flock s'inscrit bien dans son époque et il est le seul à proposer en natif une évolution notable des fonctionnalités de base du navigateur, qui ont en fait peu changé depuis 1993, année de publication de NCSA Mosaic, le premier navigateur doté d'une interface graphique.
1er mars 2008 : une date historique dans l’histoire des navigateurs web
Le groupe AOL, dernier propriétaire du navigateur Netscape, a annoncé officiellement la fin du support pour ce logiciel historique à compter du 1er mars 2008. Cette information a été relayée sur quelques sites web et blogs francophones.
Netscape Navigator 9 en 2008
Pour information à destination des très jeunes lecteurs de ce billet : le navigateur web Netscape Navigator, créé en 1994, s’inspira de l’interface du NCSA Mosaic (le premier navigateur web à interface graphique) pour devenir au milieu des années 90 le navigateur web de 80% des internautes, qui goutaient alors aux joies balbutiantes du "surf" sur le web.
Le navigateur NCSA Mosaic, publié en 1993,
le World Wide Web était alors composé officiellement de 200 sites.
L’annonce de l’arrêt du support de Netscape Navigator au début de ce mois de mars 2008 sonne le glas du navigateur historique et si, par mélancolie ou curiosité vous vous décidiez à installer la dernière version (dans tous les sens du terme…) de Netscape (la 9.0.0.6), et bien sachez que pour sa mise à jour vous aurez le choix entre Mozilla Firefox et… le navigateur Flock. Je pense qu’il est inutile de présenter ici Firefox. Quant à Flock nous y reviendrons plus loin.
Message pour la mise à niveau de la dernière version de Netscape Navigator
Sachez pour l’instant que tous les navigateurs auxquels nous venons de faire allusion ont une base technologique commune : Gecko, moteur de rendu (d’affichage) des pages web, et qu’ils sont compatibles avec les systèmes d’exploitation Windows, Mac OS ainsi que Linux et ses diverses distributions.
Les dernières évolutions du web et l’évolution des interfaces des navigateurs
Le web a envahi notre quotidien et suit une évolution technologique et fonctionnelle (web "riche", technologies AJAX, etc.), les usages évoluent avec le web 2.0 et les réseaux sociaux. Quantité de blogs foisonnent, les réseaux de partages de photos et de vidéos sont "boostés" par la généralisation du haut débit et de la nouvelle ère des appareils portables numériques et multimédias. Les écrans des ordinateurs portables et de bureau se sont aplatis et agrandis, et avec eux l’espace potentiel d’affichage de la page web.
Le résultat : le contenu de nos pages web s’enrichit, devient de plus en plus interactif, et selon les sacro-saints principes du web 2.0, l’internaute est de moins en moins passif et dispose de nouveaux moyens pour agir sur le contenu :
• En sélectionnant et gérant les flux d’informations entrants, au travers des différents outils de gestions de flux RSS et autres widgets, portails web personnalisables (tels Netvibes, Mon Yahoo !, iGoogle ou Windows Live pour ne citer que ceux-là).
Les "univers" Netvibes
• En produisant lui même du contenu web, par exemple au travers des blogs, des systèmes de publications multimédias (services de partage de photos et de vidéos, etc.),
earthalbum.com, une intégration des photos de Flickr dans Google Maps
Dans beaucoup d’activités professionnelles, le navigateur web à également envahi le quotidien : intranet des entreprises, nombreux progiciels migrant d’une architecture client/serveur vers une architecture web/intranet.
Mais avec toutes ces évolutions, qu’en est-il de l’interface de notre bon vieux navigateur web ? Force est de constater que les fonctionnalités de l'interface utilisateur n’ont pas beaucoup évolué depuis des décennies, depuis le début du « surf » sur le web. Les évolutions du web ont lieu surtout dans les pages, elles vont moins vite au niveau de l'interface du navigateur. De grandes guerres ont déjà eu lieu entre les navigateurs, mais elles ont surtout concerné les technologies et les normes liées à la gestion du contenu des pages web. L'interface utilisateur, elle, n'a pas beaucoup changé du point de vue fonctionnel.
Les fonctions standards des navigateurs web
Les fonctionnalités de base pour la majorité des navigateurs sont les mêmes depuis les premiers navigateurs à interface graphique :
• En haut de la fenêtre, au dessous de la barre de titre, une barre de menu (qui n’est plus affichée par défaut après l’installation d’Internet Explorer 7, le dernier navigateur de Microsoft),
• La traditionnelle barre d’adresse pour la saisie et l’affichage des adresses web,
• une barre d’outil personnalisable avec des boutons eux aussi traditionnels : les flèches de navigation, l’historique de navigation, le bouton de retour à la page d’accueil, les boutons de rechargements et d'arrêt de chargement de la page, les favoris (ou marque-pages). Certains de ces boutons (historiques, favoris) sont maintenant combinés avec le désormais classique affichage du « panneau latéral » rétractable (ou « barre latérale », « Volet d’exploration ») sur le côté gauche de la fenêtre.
• La navigation par onglet, qui s’est généralisée sur à peu près tous les navigateurs (popularisée par Mozilla Firefox, et maintenant intégrée en natif sur Internet explorer 7), peut être vraiment considérée comme l’innovation récente la plus notable sur le standard fonctionnel des navigateurs web.
• Rajoutons-y l’intégration dans la barre d’outils d’un champ de recherche associé à un moteur de recherche, la gestion des flux RSS (voir plus bas), et nous aurons à peu près fait le tour des fonctionnalités récemment standardisées.
• La présence de fenêtres contextuelles dans les pages n’est pas à proprement parler une fonctionnalité des navigateurs web, mais plutôt une fonctionnalité qui a suivi l’évolution des interfaces graphiques des systèmes d’exploitation des ordinateurs personnels.
En ce qui concerne les retours d'information et les notifications :
• Les fenêtres de message (erreurs, de confirmation/annulation, etc.), dans des fenêtres en superposition au premier plan, provenant du système d’exploitation, du programme du navigateur, ou générés à partir du code des pages web,
• La barre d’état en bas de page avec des informations contextuelles existe depuis toujours, elle s’est simplement enrichie,
• La notification de détection de présence de flux RSS dans la page web a fait son apparition, avec la gestion et la prise en charge de l’affichage de ces flux dans le panneau latéral et la page du navigateur.
• Une évolution récente également, les messages de sécurité sur le contenu de la page associés à des liens ou boutons d’action en haut de la zone d’affichage de la page web (blocage/déblocage de pop-up, avertissements de nécessité d’installation de plugins et de programmes complémentaires pour gérer certains contenus spécifiques dans la page, etc.).
Les possibilités de personnalisation additionnelles de l’interface du navigateur
… et ses dérives
Certes, il existe des extensions et modules additionnels pour votre navigateur préféré afin de personnaliser l’affichage et les fonctionnalités, exploitant l’espace disponible du panneau latéral, rajoutant des icônes dans votre barre d’outils, des fenêtres externes avec des outils additionnels, etc. Pour le navigateur Mozilla Firefox ces extensions sont innombrables.
Certaines de ces extensions sont même devenues indispensables pour différentes catégories d’utilisateurs. Citons comme exemple la barre d’outils Web Developer pour les développeurs web.
La barre web developer est disponible pour les navigateurs
Firefox, Flock, Opera et Internet Explorer
Si vous êtes un fanatique des barres d’outils supplémentaires, vous avez l’embarras du choix pour votre navigateur favori, mais à force de rajouter des barres d’outils il ne vous restera malheureusement que quelques pixels sur la hauteur et la largeur de votre écran pour pouvoir visionner vos pages web.
Mais où qu’elle est ma page web …
Si vous adorez « scroller » ce n’est peut être pas un problème. Dans le pire des cas il vous restera l’ultime touche F11 de votre clavier pour basculer en mode plein écran ! La possibilité de personnalisation des interfaces a ses propres travers ergonomiques… mais aussi techniques : le rajout d’extensions fera augmenter la probabilité d’apparitions de bugs, d’incompatibilités et de problèmes de montée de version du navigateur et de ces composants additionnels, d’utilisation des ressources du système d’exploitation.
… hé ben j’ai plus trop de place là non plus.
Certaines extensions peuvent complètement transformer votre interface et se révéler être une nouvelle expérience de navigation : une des plus spectaculaires est sans doute celle proposée par l’extension Piclens, permettant un affichage plein écran avec une navigation en 2D et 3D dans les galeries d’images compatibles avec l’extension. Mais une fois l’expérience passée, il vous faudra revenir à la (triste ?) réalité de l’interface traditionnelle de votre navigateur web.
L'extension Piclens est compatible avec les navigateurs Safari, Internet Explorer, Mozilla Firefox
dans les environnements Mac OS et Windows
Pour les plus techniciens d’entre vous qui disposent de temps libre et qui préfèrent Mozilla Firefox, l’extension Greasemonkey vous permettra de rajouter d’innombrables scripts à votre navigateur. Mais ici il ne sera pas tellement question de modifier l’interface de votre navigateur, mais plutôt l’affichage et le contenu des pages web visualisées.
Mais au fait, qui sont ces navigateurs dont il est question ? Les plus présents sont les navigateurs Internet Explorer et Mozilla Firefox. Selon XITI monitor, en Europe en décembre 2007 la part de visites des sites par Internet Explorer représente 66,1% des connexions, 28% pour Mozilla Firefox.
Le navigateur Flock : un « Firefox amélioré » dans la continuité de Netscape
Comme mentionné en introduction de ce billet, Flock fait partie avec Mozilla Firefox des deux solutions proposées pour la mise à niveau de la version de fin de vie de Netscape Navigator (voir plus haut).
Flock est un navigateur web gratuit développé par la société de même nom (née en 2005) à partir des sources de Mozilla Firefox. Les utilisateurs de Firefox apprécieront le fait que les extensions de leur navigateur favori soient compatibles avec Flock et peuvent être installées sur ce dernier sans aucun problème (à l'exception des thèmes, qui modifient seulement l'apparence graphique du navigateur).
On peut supposer que les concepteurs de Flock ont très bien étudié certaines extensions de Mozilla Firefox pour s'en inspirer et intégrer en natif certaines des fonctionnalités dans leur navigateur web.
L’extension Meebo pour Firefox installée dans le panneau latéral de Flock
permet l'intégration du service Meebo
( gestion dans une page web des messageries instantanées
MSN, Yahoo ! Messenger, ICQ, AOL Instant Messenger, Google Talk, Jabber)
Les montées de version de Flock suivent à la fois les montées de version de Firefox (la dernière version de Flock est basée sur les sources de Firefox 2.0.0.12) et les évolutions et traductions multilingues de Flock lui-même.
Fermons cette importante parenthèse technique pour nous recentrer sur les fonctionnalités proposées en natif sur Flock. Certaines d'entre elles pourraient très bien avoir leur équivalent avec l’ajout d’extensions existantes pour les différents navigateurs existants, je pense notamment à la gestion des favoris pour del.icio.us dans Mozilla Firefox, Internet Explorer, ou Konqueror. Mais l’intérêt de Flock est d’intégrer ces fonctionnalités en natif dans son interface, dont certaines sont particulièrement bien pensées, comme l’association dans le groupement des icônes de détection automatique de flux RSS, de contenu multimédia et des moteurs de recherche (voir plus bas) ou les notifications de détection de comptes (voir plus bas également).
Flock, un navigateur « Social »
Avant de rentrer dans les détails des fonctionnalités, commençons par la définition que les créateurs de Flock donnent eux-mêmes de leur produit. C’est un navigateur web "social". Plus précisément, l’interface du navigateur intègre la détection de vos comptes et une gestion spécifique des services en ligne dit de « réseaux sociaux » parmi les plus populaires. Au fur et à mesure de ses montées de version le navigateur intègre la gestion de nouveaux services.
Dans sa dernière mouture (Flock 1.1) les services de « réseaux sociaux » suivants sont gérés :
• Partage de liens web (ou « Social bookmarking ») : del.icio.us et Ma.gnolia
• Communauté et partage de contenu multimédia : Facebook, Twitter, Flickr, Picasa, Youtube, Photobucket, Piczo
Une partie des fonctionnalités intégrées à l’interface du navigateur sont directement liées à l’utilisation de ces réseaux sociaux, comme nous allons le voir. Mais ce navigateur ne saurait être simplement réduit à sa fonction « sociale », comme nous allons très vite nous en apercevoir.
Les innovations fonctionnelles contenues dans Flock sont très nombreuses, l'objectif de ce billet n'est pas de toutes les énumérer (ce serait de toute façon trop long), mais de nous focaliser sur quelques unes parmi celles qui nous paraissent les plus intéressantes, en liaison avec les nouveaux usages du web.
La barre de services à l'avantage de rassembler dans une zone très réduite une grande diversité de fonctionnalités, combinant des boutons d'actions aux résultats variés, des notifications, mais aussi un sous-menu pour les webmails.
La détection de contenus spéciaux dans les pages
Comme nous l'avons déjà mentionné, les navigateurs actuels intègrent la détection de flux RSS dans les pages webs. Flock va plus loin, en groupant dans la barre d'adresse 3 icônes de notifications de présence : une pour le contenu multimédia visionnable via la barre multimédia de Flock (voir plus bas), une pour les flux RSS, et une pour la détection de scripts de rajout de moteur de recherche (cf. exemple ci-dessous) :
Détection d'un moteur de recherche...
...et rajout du moteur de recherche
Les deux figures précédentes illustrent la sélection et l'ajout d'un moteur de recherche qui a été détecté. L'utilisateur peut ensuite paramétrer les moteurs de recherche qu'il souhaite utiliser (cf. ci-dessous)
Gestion des moteurs de recherche
Notifications de détection de compte
Lorsque vous vous connecterez avec votre identifiant et mot de passe à un service potentiellement géré par Flock, une notification en haut de la page web vous proposera de mémoriser le compte afin d’activer les fonctionnalités spécifiques associées.
Dans l'exemple ci-dessus, un compte de blog Wordpress.com a été détecté. Si l'utilisateur décide d'intégrer le compte en question alors les fonctionnalités de gestion de blog seront activées pour ce compte (cf. plus bas "La publication de billets de blog")
La barre multimédia
Nous avons déjà évoqué plus haut la détection des contenus spéciaux dans une page. Le cas de la détection de flux contenu multimédia est liée à l'activation d'une "barre multimédia" horizontale.
Cette barre horizontale peut être affichée et rétractée, elle permet de visualiser et de faire défiler les miniatures des photos et vidéos contenues dans une page web, de lancer l’affichage et la visualisation dans la page web, de sélectionner un "flux favoris" qui sera affiché dans la "page d'accueil personnalisée" (voir plus bas).
Du point de vue ergonomique, cette barre multimédia offre une nouvelle possibilité de navigation rapide et efficace dans les galeries d'images ou vidéos.
La gestion des liens favoris (ou « marque-pages »)
Flock permet de gérer des favoris locaux et/ou en ligne pour les liens web partagés via les services del.icio.us ou Ma.gnolia :
Un lien web peut être rajouté en local et/ou vers le service en ligne de partage de liens directement depuis l'interface avec les informations complémentaires (confidentialité du lien, description du lien, tags (ou "marqueurs") :
Un des intérêts de ce système est sa souplesse, l'utilisateur peut gérer des favoris locaux et/ou distants.
La gestion des contacts dans les différents réseaux sociaux
Elle est intégrée comme une des fonctionnalités d’affichage dans le panneau latéral du navigateur. Apparentée aux affichages des messageries instantanées, vous êtes informés de l’arrivée de nouveaux messages de la part de vos contacts, leur statut (Twitter/Facebook), la diffusion de nouvelles photos ou vidéos sur leur page de profil, et vous avez un accès rapide à certaines fonctions de votre réseau favori : « Poke » vers un utilisateur Facebook, message pour un contact sur Flickr…
Ce principe offre la possibilité d'avoir une information rapide et synthétique sur les mises à jour des profils par les contacts dans les différents réseaux sans avoir à consulter les pages de profil ou de flux.
Le transfert par lot de photos vers les sites communautaires
Les internautes qui envoient leur photos numérisées sur Flickr, Picasa, Facebook, etc., ont à leur disposition une fonction au travers d’une fenêtre supplémentaire appelée le "Téléchargeur de photos » qui permet le traitement par lot du transfert de fichier par "Glisser/Déposer", avec possibilité de redimensionnement des fichiers de photos/images, rajout de « tags », choix ou création de l’album photo en ligne. Selon les fonctions gérées par le service en ligne, l’utilisateur aura également la possibilité de géolocaliser ses clichés ou gérer la confidentialité des photos en ligne (ce qui est le cas pour le service Flickr).
L'intégration de cet outil lié à la gestion des différents comptes existants sur les différents réseaux, le traitement centralisé via un seul outil et le traitement par lot offre un gain d'efficacité important pour l'utilisateur remontant ces fichiers d'image vers ces différents comptes.
La publication de billets de blog
Une fenêtre d’édition vous permettra de rédiger vos brouillons (d'en conserver une copie locale) et publier directement vos billets sur vos blogs Blogger, Blogsome, LiveJournal, Typepad, Wordpress.com, Xanga et autres blogs autogérés.
Un des intérêts de cette intégration est de pouvoir rédiger un blog indépendamment d'une page web, en mode déconnecté, en plusieurs étapes, avant sa publication sur le blog.
Quelques autres fonctionnalités intégrées :
• Gestion des flux RSS : classement par catégories, affichages, notifications de nouvelles publications ;
• Webmail (Gmail et Yahoo ! Mail) ;
• La page d’accueil personnalisée, dans laquelle peuvent être afficher les flux (RSS et multimédias) préférés, les mises à jour des profils de vos contacts sur les sites communautaires, les sites préférés ;
• Une fonction de "Presse-papier web" dans le panneau latéral (cf. figure ci-dessous) ;
• et bien d'autres choses... Vous pourrez trouver plus d'information sur le site de Flock.
Le "web bloc-notes"
Rappel des services gérés par Flock 1.1
Gmail, Yahoo ! Mail, del.icio.us, Ma.gnolia, Facebook, Twitter, Flickr, Picasa, Youtube, Photobucket, Piczo, Blogger, Blogsome, LiveJournal, Typepad, Wordpress.com, Xanga et autres blogs autogérés.