Il y a d'abord le flacon-bijou, sublime en noir et or. Puis une vaporisation dans l'air…La première fois que j'ai humé Coco Noir de Chanel, il m'a à la fois semblé familier et différent. Familier, parce que Jacques Polge l'a créé en songeant à Coco et Coco Mademoiselle. Le premier, un boisé-épicé, a bercé mes vingt ans et j'ai porté le second. Et différent, parce que Coco Noir, un grand baroque nocturne, a bien sûr sa propre identité. La première impression est celle de la fraîcheur des baies roses et du pamplemousse. Le cœur de jasmin, de rose et de narcisse s'épanouit ensuite, avant de laisser place au fond de fève tonka, patchouli, santal, vanille et muscs blanc. Un pur délice de féminité et de douceur qui sera, d'après moi, un des grands succès de la rentrée parfumée. Photo: Chanel - Julien Claessens et Thomas Deschamps
Il y a d'abord le flacon-bijou, sublime en noir et or. Puis une vaporisation dans l'air…La première fois que j'ai humé Coco Noir de Chanel, il m'a à la fois semblé familier et différent. Familier, parce que Jacques Polge l'a créé en songeant à Coco et Coco Mademoiselle. Le premier, un boisé-épicé, a bercé mes vingt ans et j'ai porté le second. Et différent, parce que Coco Noir, un grand baroque nocturne, a bien sûr sa propre identité. La première impression est celle de la fraîcheur des baies roses et du pamplemousse. Le cœur de jasmin, de rose et de narcisse s'épanouit ensuite, avant de laisser place au fond de fève tonka, patchouli, santal, vanille et muscs blanc. Un pur délice de féminité et de douceur qui sera, d'après moi, un des grands succès de la rentrée parfumée. Photo: Chanel - Julien Claessens et Thomas Deschamps