Royal Pains // Saison 4. Episode 9. Business and Pleasure.
Après un bon début, cette saison 4 de Royal Pains commence à devenir assez passable. J'ai beaucoup de mal avec les intrigues de certains personnages, et les parties stand-alone manquent pas mal
de rythme. Ce qui pèche dans un premier temps c'est le cas de la semaine. En effet, Hank est chargé de soigner une agent des DEA qui travaille sous couverture. Très rapidement, cela va plutôt
bien coller entre les deux personnages. Et les deux vont passer un très bon moment ensemble. Malaise, aucune scène de ces deux personnages n'est crédible. Le tout à cause de cette actrice, que je
trouve assez mauvaise. Du coup, cela ne colle pas du tout avec Hank. Je regrette peut être presque Jill. Je dis bien peut être. Ce nouvel épisode de Royal Pains veut aussi développer la relation
entre Hank et Christina. Encore quelque chose de très pompeux. Je n'ai jamais adhéré à cette histoire et je suis plutôt content qu'elle s'achève dans cet épisode. Cela permet de retrouver un Hank
seul.
Ce personnage n'a jamais été intéressant quand il était amoureux ou dans une relation amoureuse. C'est ce que trois saisons d'expérience me chuchotent à l'oreille. Par ailleurs, pour en revenir
au cas de l'agent des DEA, le seul bon moment reste la course poursuite. C'était tellement débile ce moment que j'ai adoré. Il m'en faut peu, surtout pour rire et je dois vous avouer que là,
c'était le pompon. Pendant ce temps, Evan aimerait bien gagner une Ferrari. C'est la voiture de ses rêves et sans ça, il ne pourrait pas vivre normalement. Que ce fût laborieux. On passe pas mal
de temps à avoir mal au coeur pour ce personnage. Evan ne sert strictement à rien dans l'épisode. Je préfère quand il parle de son business et qu'il travaille. Quand il s'amuse (comme dans cet
épisode) on s'ennui terriblement. Je ne dis pas que j'attends de Royal Pains qu'elle soit un chef d'oeuvre (loin de là), mais franchement, on ne peut pas dire que cette histoire était
passionnante.
Note : 3/10. En bref, un épisode passablement ennuyeux.