- que…les prochains jours en France seront caniculaires ; l’info est d’importance, l’attention nécessaire ; on a la connaissance des risques sanitaires ; pensons donc vigilance commune et solidaire. Mais lisons de plus près notre phrase initiale ; elle relate des faits, des infos capitales ; on connut des décès, des détresses familiales, dans un proche passé, conjurons donc le mal. Lisons encore plus près, avec un œil distinct, et comptons les douze pieds, c’est un alexandrin ! Poursuivons cet effet, qui renvoie au lointain ; ce temps où l’on causait, avec des vers en main. Cette phrase était un signe, pour ciseler nos vers ; ainsi se montrer dignes, de nos illustres pères ; j’évoque ici Racine, Corneille ou bien Voltaire ; devant eux on s’incline, le chapeau en arrière. Et on tire les leçons, des erreurs du passé ; ensemble rappelons, qu’il y a quelques étés, dans certaines maisons, de retraite, dénommées, la chaleur eut raison, d’ainés abandonnés. Lors si l’alexandrin est de mode passé, l’esprit des écrivains, a goût d’éternité ; le savoir des anciens doit être exemple cité, la sagesse des anciens doit le futur sauver !
- que…prier l’anti-Poutine, vaut culpabilité ! Taxées d’hooliganisme, les voilà condamnées ! Elles chantèrent leur hymne, en cathédrale sacrée ; au pays de Poutine, on les a arrêtées. Leur nom, Pussy Riot, un groupe de jeunes filles, aux chansons patriotes, un bon punk des familles, ne plut pas au despote, et les bracelets qui brillent, aux poignets des Riot, deux ans de camp pour filles ! Dans la salle du dédain, l’injustice fut hurlée, mais ça ne changea rien, en pays cadenassé ! Le savoir des anciens est parfois piétiné, la sagesse des anciens devrait être écoutée !
- que…salafistes tunisiens riment donc avec censure ! Spectacles jugés païens, au sabre, attaqués furent ! Militants, armes en mains, qui par l’islam jurent, estiment qu’il n’est pas bien, de parler libre, pour sûr ! La police ne fit rien, ou bien des heures après ; la culture, on éteint, en toute impunité ! Le savoir des anciens est parfois laminé, un jour ce serait bien, pour tous, la liberté !