Je tiens enfin mon mois d'août presque tranquille, presque puisqu'il reste des parasites à la maison qui ont décidé de retarder leurs vacances pour des raisons médicales, léger mais recevable. Mais après un moment de saturation fin juillet début août j'ai repris l'opération grands travaux dans les piaules des indésirables, une première chambre a été terminé il y a 15 jours dans la douleur, la bande de casse-couille était toute la journée dans mes pattes. La vengeance étant un plat qui se mange froid je profite de ces espaces libres pour débroussailler avant de refaire le plafond et les murs, j'attaque donc le chantier avec des grands sacs poubelles, des beaux et des solides pour pouvoir en mettre un maximum. Je ratisse large, je ne perds pas mon temps à trier, je benne, je nettoie, je purge, je tue la vermine gadget qui traîne, j'élimine sans scrupule. J'avais pourtant prévenu de ne rien laisser non rangé avant qu'ils partent. J'ai gagné plein de m² mine de rien, j'ai retrouvé des trucs que je ne soupçonnais même plus, j'ai découvert des DVD même pas déballés et aussi des boites de CD vide que j'ai jeté avec le plus grand plaisir, Soprano, faut pas déconner, sa place de toutes façon est à la poubelle. Je ne sais même pas comment peut-on perdre toutes ses affaires comme ça, mes disques sont tous précieusement rangés par ordre alphabétique dans des colonnes et surveillés régulièrement. Je ne rigole pas avec la musique. Je suis capable du pire si on ne respecte pas mes albums. Et là j'étais en train d'y penser quand j'ai vu la pochette du premier album de Sugar Ray (Lemonade and Brownies) au milieu de leur merdier sans nom, il avait échappé à ma vigilance, je l'ai ouvert et le CD n'y était plus. Un d'entre eux l'avait certainement écouté et égaré comme les autres. Je me suis contenu, je ne me suis pas énervé, je l'ai juste signalé à ma douce qui m'a dit, sans rire, que c'était un disque que la grande avait acheté. Je lui ai juste répondu que c'était très bien ce qu'elle écoutait, qu'il était super cet album et qu'elle avait eu raison d'aller l'acheter en boutique à ses quatre ans. L'album date de 1995 et c'est l'âge qu'elle avait à l'époque. J'aime comme on me prends pour un idiot. Je vais continuer dans la terreur, j'en suis déjà à 250 litres de sac poubelle remplis, j'espère quand même retrouver ce cédé en bon état et vivant.
Je tiens enfin mon mois d'août presque tranquille, presque puisqu'il reste des parasites à la maison qui ont décidé de retarder leurs vacances pour des raisons médicales, léger mais recevable. Mais après un moment de saturation fin juillet début août j'ai repris l'opération grands travaux dans les piaules des indésirables, une première chambre a été terminé il y a 15 jours dans la douleur, la bande de casse-couille était toute la journée dans mes pattes. La vengeance étant un plat qui se mange froid je profite de ces espaces libres pour débroussailler avant de refaire le plafond et les murs, j'attaque donc le chantier avec des grands sacs poubelles, des beaux et des solides pour pouvoir en mettre un maximum. Je ratisse large, je ne perds pas mon temps à trier, je benne, je nettoie, je purge, je tue la vermine gadget qui traîne, j'élimine sans scrupule. J'avais pourtant prévenu de ne rien laisser non rangé avant qu'ils partent. J'ai gagné plein de m² mine de rien, j'ai retrouvé des trucs que je ne soupçonnais même plus, j'ai découvert des DVD même pas déballés et aussi des boites de CD vide que j'ai jeté avec le plus grand plaisir, Soprano, faut pas déconner, sa place de toutes façon est à la poubelle. Je ne sais même pas comment peut-on perdre toutes ses affaires comme ça, mes disques sont tous précieusement rangés par ordre alphabétique dans des colonnes et surveillés régulièrement. Je ne rigole pas avec la musique. Je suis capable du pire si on ne respecte pas mes albums. Et là j'étais en train d'y penser quand j'ai vu la pochette du premier album de Sugar Ray (Lemonade and Brownies) au milieu de leur merdier sans nom, il avait échappé à ma vigilance, je l'ai ouvert et le CD n'y était plus. Un d'entre eux l'avait certainement écouté et égaré comme les autres. Je me suis contenu, je ne me suis pas énervé, je l'ai juste signalé à ma douce qui m'a dit, sans rire, que c'était un disque que la grande avait acheté. Je lui ai juste répondu que c'était très bien ce qu'elle écoutait, qu'il était super cet album et qu'elle avait eu raison d'aller l'acheter en boutique à ses quatre ans. L'album date de 1995 et c'est l'âge qu'elle avait à l'époque. J'aime comme on me prends pour un idiot. Je vais continuer dans la terreur, j'en suis déjà à 250 litres de sac poubelle remplis, j'espère quand même retrouver ce cédé en bon état et vivant.