Elle doit au contraire se consacrer à ses missions premières, qui sont de faire face aux risques majeurs, toujours selon son vénéré chef Blattmann.
On ne voit pas très bien comment nos braves soldats-citoyens s’y prendront pour éviter qu’à l’avenir les banquiers et autres politiques insouciants ne continuent d’endetter les pays à leurs profits multiples. Un bidasse dans chaque hall de banque, l’avenir ?
Quant à la cyber-guerre, il faudrait déjà que l’armée suisse comprenne comment fonctionne son propre système informatique, en capilotade depuis des lustres, avant d’imaginer comprendre le quart du tiers du début de ce qu’est la cyber-guerre.