Dans La mémoire de la forêt (de Charles T. Powers, donc), Leszek vit avec sa mère et son grand-père dans un village polonais, d’où les Juifs ont disparu pendant la Seconde guerre mondiale. La synagogue détruite, les stèles de leur cimetière utilisées dans la construction des maisons, leurs traces ont été effacées. Mais les hommes, façonnés par l’époque communiste, sont secoués par un changement de régime dont certaines bonnes âmes voudraient profiter pour porter des accusations en tous sens. Dans une société où les trafics se multiplient, où les mémoires conservent des traces du passé, Leszek mène presque malgré lui une enquête souterraine, pleine de nœuds et de culpabilité.
Dans La mémoire de la forêt (de Charles T. Powers, donc), Leszek vit avec sa mère et son grand-père dans un village polonais, d’où les Juifs ont disparu pendant la Seconde guerre mondiale. La synagogue détruite, les stèles de leur cimetière utilisées dans la construction des maisons, leurs traces ont été effacées. Mais les hommes, façonnés par l’époque communiste, sont secoués par un changement de régime dont certaines bonnes âmes voudraient profiter pour porter des accusations en tous sens. Dans une société où les trafics se multiplient, où les mémoires conservent des traces du passé, Leszek mène presque malgré lui une enquête souterraine, pleine de nœuds et de culpabilité.