Le capitalisme
Tel un désir et une passion inassouvis, au sujet des présupposés à l’avènement de la crise économique de 2008, V. Vodarevski, nous replonge à travers le lien ci dessus, dans cet univers des supposées causes, ayant engendrées, la gestation du phénomène de crise économique, laquelle est imbibée de multiples interprétations, à l’origine de collisions doctrinales et théoriques, suffisamment éprouvées, alors que dans sa propension quasi systémique, elle vint, mettre à mal les bulles spéculatives sur les marchés financiers, et ceux de l’immobilier par le jeu de l’apparition d’une chaîne d’insolvabilité, annonciateur d’une faillite généralisée.
Ainsi, quoi que, par analyse interposée et interactive, V. Vodarevski, par l’entremise de Corentin de Salle, et par le biais de son article, sur “le capitalisme”, renfloue et affûte ses arguments, initialement orientés, dans le sens de la vocation libérale du libre jeu de l’offre et de la demande du marché, arguments et positions d’ailleurs suffisamment repris et défendus par C de Salle, il demeure une approche assez scientifiquement subtile, sur le sujet que constitue l’interventionnisme étatique, dans l’économie, autrement, le point de jonction, s’il faut, le rapport, qui puisse exister, entre l’évolution sociétale, l’organisation politique et la satisfaction des besoins inhérents à l’existence humaine. Ces paramètres qui échappent d’une part au champ d’investigation économique, notamment le troisième, lorsqu’il s’impose comme un devoir moral, une exigence motivée par l’obligation de vaquer à assumer aussi pleinement que les ressources s’y prédisposent, les prérogatives de certaines fonctions politiques, ainsi que les contraintes qui naissent lorsque l’idéal se joint à la volonté de servir, sont de natures à fournir les agrégats conceptuels du champ d’investigation intellectuelle; et bien que de l’autre part, ces paramètres servent à nourrir le seuil le plus élevé des points de divergences des différents courants et écoles de pensée économiques qui se disputent, le monopole de la théorie qui se rapporte au mieux à la stabilité du marché, son fonctionnement harmonieux, y compris ses fonctions régulatrices, dans le choix entre l’interventionnisme et le non interventionnisme. A certains égards, les alliés s’accordent à ne plus extirper la réglementation de l’arbre des solutions pour contenir les effets de la spéculation sauvage, en pointant cette foi-ci, l’hyperréglementation comme étant la cause de la crise de 2008. Et par ce biais, indexer l’hyperréglementation qu’ils font émaner des choix étatiques, lorsqu’ils s’immiscent sur le terrain économique.
A cet effet, Corentin de Salle, se lance dans l’élucidation d’une série de 8 questions, minutieusement concoctée, afin de conforter ses arguments sur les effets contraignants et dysfonctionnant de l’interventionnisme étatique, qu’il qualifie par l’hyperréglementation, avec je dirai un seul souci pour lui, à savoir conforter la théorie libérale du marché, au sens de F .Hayek, qu’il soutient d’emblée et dont il amplifie les thèses sur le libre marché, je cite: Friedrich Hayek disait que la seule chose qu’on peut faire face à une crise, c’est de la laisser mourir de sa belle mort. Le principal problème, ce n’est pas nécessairement la crise elle-même, mais les mesures que, croyant bien faire, on adopte dans son sillage, c’est-à-dire une multitude de plans de relance aussi inefficaces que ruineux. C’est l’erreur que fit Roosevelt et c’est à cause d’elle que la crise de 1929 se prolongea et s’amplifia dans des proportions inouïes avec des conséquences dramatiques pour l’ensemble du monde.”
Ces remarques ainsi déclinées, au sujet de l’interventionnisme, laissent éclore, une série d’idées, largement répandues et à l’afflux, d’une conception autres, du rôle de l’état, ses fonctions normatives et régulatrices, au prorata, de l’évolution de la doctrine économique, le rythme exponentiel de la spéculation qui a finie par contaminer tous les marchés, appauvrit les travailleurs, confiner les épargnes, avec des dysfonctionnements récurrents, ainsi que modeler les modes de gouvernances, largement désormais inspirés par les effets conjugués des conjonctures économiques et la pression de la nécessité politique.
Par ailleurs, loin de surseoir à la théorie de l’autorégulation du marché, je soutiens par ailleurs, l’alternance politique, comme levier des orientations politiques à l’origine des choix économiques, et du mélange des genres, que la démocratie n’a pas sue circonscrire, pour ainsi, trouver un autre pan d’explication à l’effondrement du marché de l’immobilier en 2008, car n’oublions jamais, qu’en plus, du rôle d’optimisation des procédés de gestion économique, et le niveau accru de mobilisation de ses ressources, tout état responsable, et à la pointe du progrès, vise dans la finalité de ses objectifs, sinon à vaincre la pauvreté et la misère, l’acquisition du bien-être sous ses formes les plus accomplies, n’est-ce pas que les prêts subprime, que le gouvernement Américain, lança pour permettre, l’acquisition d’un bien immobilier par un plus grand nombre d’Américains, trouve sa profonde origine, dans le niveau de développement des USA, ainsi que les politiques sociales d’accès à la propriété? Alors même que, les objectifs financiers et économiques de cette vaste propension au prêts en tous genres, ne soient pas atteints.
Quoi qu’il en soit, entre la régulation et l’hyperréglementation, un seuil de franchi, doit être admis, dans la mesure où les analyses actuelles, s’expliquent par la position qui délimite le monde des finances et celui de la politique, en sachant de surcroît, que les décisions politiques exerçant une influence immédiate et avérée, sur le fonctionnement de l’économie, affectent par l’impact qu’elles sont supposées avoir, sur le circuit économique, quand la pertinence prospective s’y adonne, alors que les études d’impact, en pleine crise, s’érode sous le poids de la panique et la promptitude à juguler les effets de la crise, de sorte à écarter le spectre d’une contagion à la chaîne.
Partant, il faut finalement, entrevoir les hostilités qui émergent, lorsque les orientations politiques, cadrent mal avec les choix économiques, autrement lors que l’inadéquation est constatée, soit par le biais de la rareté des ressources, soit par le concours d’une abjecte consolidation des théories et doctrines!!!!!
Je tiens à affirmer que partout où je vais, les gens s’emploient à trafiquer ma connexion, raison pour laquelle, je n’arrête pas d’être injurieux. Aucun blanc, ni Arabe, encore moins un noir, ne mettra la main, sur ce qui me revient. Les Guinéens et les Sénégalais en tête de peloton!!!!
Je ne suis pas Bah, ce passeport est une fausse identité