Sur le déclin depuis maintenant 3 ans, le secteur des terminaux à claviers physiques ne doit son salut qu’à une poignée de constructeurs (RIM) en tête. Nokia, en quête d’inspiration sur un marché déjà parfaitement verrouillé, a souhaité recueillir l’avis des utilisateurs sur la popularité (ou non) de ces petits boutons qui ont fait la joie d’un certain nombre d’utilisateurs au fil du temps.