Mais, depuis lors, ayant séjourné dans une Clinique spécialisée en France, il a été retenu sur instruction de son médecin afin de passer sa convalescence sur place permettant ainsi la rééducation de sa partie droite touchée par la maladie. Et il le fait à ses propres frais ainsi que de l’assistance lui parvenant de ses nombreux fans d’Angola et du Congo-Brazzaville. Dire que cet artiste a beaucoup travaillé pour la musique congolaise pour laquelle il a consacré le plus clair de sa vie, il y a de quoi marcher à l’envers. Cependant, selon les dires de ses proches, et contrairement à ce qui se raconte dans certains milieux, Seigneur Tabu Ley n’est pas un nécessiteux qui ira toquer à différentes portes pour quémander l’aumône.Avec ce qu’il a amassé tout le long de sa carrière, il se suffit. Néanmoins, il lance un cri aux autorités afin que de son vivant, il puisse bénéficier des honneurs dus à son rang en tant qu’Ambassadeur de la culture congolaise à travers le monde. De ce fait Tabu Ley réfute toutes les médailles qu’on pourra, à titre posthume, venir mettre sur sa tombe le jour de sa mort. Dire aussi que le patron de l’Afrisa International est inconsolable lorsqu’il pense que dans son pays, il y a des gens qui souhaitent sa mort pour organiser des funérailles pompant. Pour tout, Tabu Ley n’oubliera jamais le geste qu’avait pose Koffi Olomide, en 2009, pour l’honorer. Kingunza Kikim Afri/L’Avenir
Mais, depuis lors, ayant séjourné dans une Clinique spécialisée en France, il a été retenu sur instruction de son médecin afin de passer sa convalescence sur place permettant ainsi la rééducation de sa partie droite touchée par la maladie. Et il le fait à ses propres frais ainsi que de l’assistance lui parvenant de ses nombreux fans d’Angola et du Congo-Brazzaville. Dire que cet artiste a beaucoup travaillé pour la musique congolaise pour laquelle il a consacré le plus clair de sa vie, il y a de quoi marcher à l’envers. Cependant, selon les dires de ses proches, et contrairement à ce qui se raconte dans certains milieux, Seigneur Tabu Ley n’est pas un nécessiteux qui ira toquer à différentes portes pour quémander l’aumône.Avec ce qu’il a amassé tout le long de sa carrière, il se suffit. Néanmoins, il lance un cri aux autorités afin que de son vivant, il puisse bénéficier des honneurs dus à son rang en tant qu’Ambassadeur de la culture congolaise à travers le monde. De ce fait Tabu Ley réfute toutes les médailles qu’on pourra, à titre posthume, venir mettre sur sa tombe le jour de sa mort. Dire aussi que le patron de l’Afrisa International est inconsolable lorsqu’il pense que dans son pays, il y a des gens qui souhaitent sa mort pour organiser des funérailles pompant. Pour tout, Tabu Ley n’oubliera jamais le geste qu’avait pose Koffi Olomide, en 2009, pour l’honorer. Kingunza Kikim Afri/L’Avenir