Le paysage (mer, montagne, île, marais) ouvre une porte au fond de nous. Plus exactement, ce serait comme des retrouvailles entre ce « tableau » que l’on porte au fond de soi, qui trempe dans l’eau la plus claire de nos mondes intérieurs (…) et, d’autre part, ce que l’on a sous les yeux. Et ces paysages peuvent être variés – car ils se superposent comme les pages d’un livre –, on ne fait rien d’autre que les découvrir, tel un archéologue, mais la plupart du temps, on en reste à la page de garde, dans nos albums d’images intérieures.