Résumé : Personnalité des milieux high-tech de Silicon Valley, Julia dirige Xymos, une jeune société qui fabrique des nanoparticules, ces robots infiniment petits destinés à la recherche militaire. Depuis quelque temps, son comportement est étrange. Elle s’absente de plus en plus souvent, se cache pour téléphoner, se désintéresse de son bébé malade, prononce des phrases incohérentes… Jack, son mari, veut comprendre. Chercheur en informatique, il parvient à se faire embaucher par Xymos pour une mission de consultant. C’est là, dans un curieux complexe technologique au coeur du Nevada, qu’il va découvrir jusqu’où peut aller le génie et la folie des scientifiques. Seul, il devra affronter un prédateur que nul n’avait jusque-là imaginé.
Avis : En lisant ce livre je ne m’attendais pas vraiment à tomber sur un scénario catastrophe et étant donné que c’est un des genres que j’aime le moins je n’ai pas réellement été transporté par l’histoire. Le début m’a mise mal à l’aise, la deuxième partie m’a dérangé et mon problème avec la fin c’est que je ne l’ai pas comprise. Ce n’était pas le seul problème du livre : j’ai détesté tous les personnages, sauf peut-être Mae que j’ai trouvé intéressante (j’aimais bien son caractère en fait). J’ai trouvé le personnage principal trop passif, qui s’aveuglait, ses gosses abominables, sa femme pire encore (oui bon ensuite on comprends mieux pourquoi, mais ça n’empêche que ça en fait des personnages vraiment désagréables). Le récit est entrecoupé d’explications physiques, chimiques, biologiques, informatiques et je dois dire que je n’ai pas toujours tout compris, ça me parraissait trop compliqué pour moi, même si certaines choses m’ont intéressé, d’autres m’ont ennuyé et finalement pour certaines n’ont pas voulu rentrer dans ma tête.
L’écriture est bonne à part ça, le suspens bien mené et c’est certainement un bon scénario, mais comme ce n’est pas mon style je ne peux pas dire avoir follement adoré donc voilà.
Phrase post-itée :
“le groupe de spécialistes a annoncé qu’Amanda avait soit une occlusion intestinale, soit une tumeur au cerveau” ça m’a fait rire jaune même si c’est horrible ce passage.
1 plus :
- L’écriture
3 moins :
- je ne suis pas adepte des scénarios catastrophes
- les personnages
- les longues coupures d’explications.