Après la fibre patriotique, vient la fibre optique.

Qu’on ne me parle plus de démosophie, étymologiquement “démonstration de la sagesse d’une déesse”, (ou tous ces types de courants stériles de mou du genou et gras du bide) avec en tête un sénile rétro statique accroc à sa webcam (cadeau de la fête des arrières grands-pères), incapable d’aligner deux idées sans en bégayer une troisième rendant ces messages pourtant pertinents inaudibles. Cumuler des idées glanées sur le web c’est bien, les transformer en solutions puis en action c’est mieux. Malheureusement le potentiel n’est pas garant d’aboutissement.

Les indignés pour ne citer qu’eux doivent commencer à avoir mal à leurs céans à force d’irritation sur le bitume abrasif en attendant que quelque chose se passe… A part le temps ou un pétard. L’indignation n’est qu’un mouvement webosphérique, vous vous rappelez ? Honorable M.Hessel, devenu un gâteux manipulé qui a publié comme par magie un grimoire de 99,98 pages (dont je laisserais le soin à Soral de le commenter), pour occuper sa retraite dorée d’ambassadeur.
Elle est brillante la potentielle révolution webosphérique. La toile n’est pas un réseau de communication actif, mais une construction d’arachnide sur l’internaute inactif.
Internet, le choc des vidéos, l’excès pondéral des ados. Et l’info dans tout ça ? Trop d’élucubrations tuent le verbe.

Au fait ce que vous ne raconte pas l’autre zigoto du sans gouvernement, de la TVA variable et des  2 000,00 € de cadeau mensuel pour vous permettre de travailler plus, dépenser plus et de redresser le pays. Sachant que ces 2000 balles vous allez les craquer allègrement (effectivement vous allez faire fonctionner les commerces) pour vous éclater, mais pas pour créer une entreprise ! Dans l’année suivante, plus de cadeau, retour à la case départ.

Pour conclure, sachez que vous avez déjà tout perdu, et vous ne vous en apercevez pas. Et vous vous refusez de croire ce que je viens de vous écrire.
Vous avez de la monnaie papier dans vos poches et numérique sur vos comptes bancaires. Les conserver c’est perdre à terme leur valeur temporelle déterminée. Les dépenser c’est vous mettre dans une précarité immédiate. Reste les placements raisonnables dans du persistant (terrains, immobilier de qualité), même les métaux précieux peuvent être dévalorisés par des spéculations financières.