L’Olympique Lyonnais, l’un des outsiders de la saison qui débute, se déplace à Rennes pour y affronter un autre concurrent direct pour les places européennes. Retrouvez ci-dessous les principales déclarations d’avant-match.
Rémi Garde (entraîneur de Lyon)
On a vécu une bonne préparation, pas axée de la même manière que la saison dernière puisque nousn’avions pas la pression du tour préliminaire de la Champions League, mais avec la pression du Trophée des Champions. C’était notre premier objectif, un objectif important, sympa également. On a bien passé ce premier obstacle. Au cours d’un match, avec la qualité des attaquants qui composent notre effectif, je sais que l’on aura toujours une ou deux occasions de but. Si l’on ne prend pas de but, on aura l’opportunité de gagner. Bien défendre, c’est un état d’esprit, des principes de jeu.
Bernard Lacombe (conseiller du président Aulas)
Rennes n’a pas eu une bonne préparation mais ça ne veut rien dire… Le premier match est une autre vérité. C’est une équipe qui nous réussit dans leur stade. Elle est rapide avec des joueurs percutants. C’est toujours un moment particulier. Le championnat c’est une autre vérité car il y a l’enjeu du résultat. Quand on est dirigeant, on est toujours inquiet – comme tous les dirigeants de toutes les équipes – on est dans l’attente.
Gueida Fofana (défenseur de l’OL)
Nous travaillons au quotidien et nous faisons le nécessaire pour rester concentrés. Nous avons un groupe qui se connaît bien, nous avons l’habitude de jouer ensemble. Il faudra prendre les matchs les uns après les autres, être costauds à domicile comme à l’extérieur.
Frédéric Antonetti (entraîneur de Rennes)
C’est toujours une nouvelle aventure qui commence, avec des incertitudes, des inconnues. C’est sûr qu’on est parti sur un peu de morosité, parce qu’on a raté l’Europe pour pas grand-chose (une place), on a raté la finale de la coupe de France. Ca laisse toujours des traces. Mais il va falloir se servir des échecs et des difficultés pour rebondir. Une réussite se construit souvent dans l’échec. J’espère qu’on pourra le faire