Simple reflexion sur le theme « les riches & les pauvres »

Les riches de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvres. J’écoute la radio dans ma voiture et dans le même journal d’information, j’entends qu’à LONDON, on a installé un débarcadère spécialement pour les visiteurs VIP arrivés avec leurs  yachts, des milliardaires qui viennent assister aux JO of LONDON 2012 et dans le même journal, on déplore la fraude aux « TEC » de Charleroi, de plus en plus de voyageurs sans titres de transport !! . Ce n’est que le début d’une situation qui se transformera en révolution, partout dans le monde, les inégalités n’ont été aussi flagrantes, dans les milieux sportifs, tous sports confondus, les sportifs perçoivent des rémunérations sans communes mesures avec le reste de la société civile en général, les clubs s’appauvrissent pour verser des émoluments  indécents alors que des milliards d’individus doivent survivre avec  un strict minimum. Lorsque je m’exprime sur FB, lorsque je fustige cette richesse non méritée et cette pauvreté qui ne cesse d’augmenter en condamnant le système ultra libéral et capitaliste, je me fais reprendre de volée par des soi-disant démocrates, je suis écœuré de cette mentalité.  Aujourd’hui, en ouvrant  le journal, une page consacrée aux milliardaires de la planète, une douzaine d’individus qui cumulent 400 milliards d’euros !!, le journaliste cite « Un espagnol,3^ièmefortune mondiale, Amancio Ortega, le patron de ZARA pèse désormais 37,5 milliards d’euros...ZARA,  c’est 5527 boutiques au monde.La question ? Tout cela est-ce normal, et pendant ce temps-là, les espagnols  pataugent dans le yaourt pour faire face à la crise qui continue à faire de plus en plus de malheureux, de chômeurs,  très jeunes. Les journaux, la presse « people », l’ensemble des médias opposent en quelque sorte les riches aux pauvres, cette situation finira bien par une sorte de révolution, il y a eu « les indignés » partout dans le monde, mais ce n’est que le début d’une nouvelle révolution. C’est inévitable, les banquiers ont mis la planète entière dans une situation économique inimaginable, en proposant des investissements insensés, ils se sont plantés, mais comme l’argent n’a pas d’odeur et que les Etats n’ont d’autres possibilités que de venir en aide aux « banksters » qui paye la note ? , ne cherchez pas, les pauvres, ben oui, les riches toujours plus riches ne veulent pas se « désargenter ». Comment  peuvent-ils croire que cette situation pourrait encore durer longtemps. Victor Hugo disait, « C’est de l’enfer des pauvres  qu’est fait le paradis des riches ». Mais c’était au 19^ième siècle, comme je l’écris plus haut, les médias ne cessent de mettre en évidence les extravagances des plus nantis et dans tous les domaines, les arrivistes, les opportunistes, les banquiers, les monarchies qui subsistent encore et les monarchistes, les nouveaux riches, les sportifs intellectuels ou pas. Je suis tenté de dire que rien ne va plus , comme dans les salles de jeux, le croupier lance d’abord « faites vos jeux » et puis « rien ne va plus » et voilà, je crois que nous arrivons doucement, mais sûrement à la fin d’une société, d’une civilisation qui doit se réformer si elle veut  survivre et vivre dans une meilleure intelligence, un système qui ne peut pas être uniquement basé sur le système capitaliste(voué immanquablement à sa perte)un système basé sur une vraie solidarité entre les êtres, sans pour cela être un système « communiste » et en guise de conclusion , certainement pas un système trop libéral qui serait au bout du compte le « copier-coller du système capitaliste ».Pour être complet sur ma réflexion, je ne peux occulter ce qui se passe en Syrie, le dictateur reste en place , une fois de plus grâce au « fric » , après les révolutions en Tunisie, en Lybie et puis en Egypte, c’est le peuple syrien qui souffre, c’est un génocide et rien d’autre et parce que les russes de Poutine soutiennent le tortionnaire en vendant des armes, toujours la même chose, le « fric » roi.. Cette réalité me révulse et si j’avais  les « moyens » de faire changer les choses, je  n’hésiterais pas une seconde, la révolution, bon dieu de bon sang, à quand cette révolution ?????.