L’électricien allemand E-On confirme son intention de fermer plusieurs centrales au charbon (deux centrales en Moselle, une centrale dans le Nord et une centrale en Saône-et-Loire) qu’il possède sur le territoire français.
Ces fermetures pourraient prendre une dimension politique sachant qu’E-On a choisi d’ignorer les offres de reprises, dont celle de Sparkling Capital ou celle de Michèle Assouline.
Sparkling Capital propose notamment des investissements importants destinés à moderniser ces centrales au charbon, toutes en service depuis une quarantaine d’années.
Rappelons que le gouvernement français évoquait la possibilité d’interdire une fermeture d’entreprise lorsqu’il existe des offres de rachat.
Les syndicats ont donc saisi ce dossier à bras-le-corps afin de tenter de sauver les 535 emplois concernés par ces fermetures annoncées.