Notre culture judéo-chrétienne nous rend toujours aussi cons, surtout pour les esprits disons de gauche, qui plus sensibles aux aspects sociaux se laissent plus facilement endormir dans l’humanisme de trottoir. Sans vouloir les offenser ce n’est pas l’objet de cet article.
Nous sommes tous des frères, soit. Frères de quoi nul ne le sait réellement mais admettons cette métaphore. Mais nos frères le sont-ils ? Sommes nous les leurs ? L’évidence des faits sont contre cette utopie. Il n’y a pas de réciprocité.
Nous tendons la main, aidons ce que nous mouvons, nous les soutenons financièrement et matériellement dans la mesure de nos moyens. Nous les accueillons dans nos écoles (si tant est qu’ils acceptent d’y participer), ils ne sont pas obligés de travailler, leur retraite leur est offerte, ainsi que tous les soins médicaux.Pourtant, ils nous crachent allègrement à la gueule, piétinent et carbonisent notre étendard et demande que l’on change notre culture pour établir un environnement qu’ils ont fui !?
Il est temps de conserver nos actes de charité à ceux qui en ont réellement besoin. Pas forcément à ceux qui pleurent le plus fort, mais ceux qui n’ont rien demandé, rien fait pour sombrer dans la misère sur notre sol.Mais ne nous trompons plus de cible. Pas les « malheureux professionnels », les « pauvres par calculs ».
Occupons-nous de ceux que l’on ne voit pas, que l’on n’entend pas.
Notre système d’aide est tellement généreux, qu’il permet aux bénéficiaires d’envoyer de conséquentes sommes d’argent à leurs pays d’origine pour aider leurs familles restées au village.
Parallèlement, les autochtones sont de plus en plus pauvres, et les aides de plus en plus rares, voire inexistantes.
Est-ce normal ? Avez-vous choisi que l’on utilise vos impôts à ces fins ?
Vous qui n’aurez pas de retraite bien que vous continuez à cotiser ?
Vous qui perdez progressivement vos acquis sociaux par manque de fonds…
Mais pas tous, voici devant une CAF, un exemple nos pauvres que nous assistons. :