Reportages vidéo

Par Mauss

On ne sait s'il s'agit d'un mouvement de fond ou non, mais nous voilà dans une période où le lecteur va devenir, s'il le souhaite, un "visionneur".

On a une adresse permanente où les films seront mis dans l'ordre de leur réalisation par notre équipe de vidéastes : MM Monsant et Bost, auteurs à 100 % de la présentation du WWS. Les autres films sont de mon fait.

Adresse web : ICI

En attendant les prochaines interviews, ils vont essayer de tirer quelques moments acceptables de films réalisés dans un amateurisme désolant par votre serviteur dont le défaut majeur est de n'avoir pas compris, à l'époque, à quel point la stabilité est fondamentale. Ça bouge beaucoup trop. Si vous êtes sujet classique au mal de mer, évitez ! La maison ne prend pas en charge les frais collatéraux.

Outre un petit moment d'enregistrement en février dernier par - 28° d'un carillonneur à Souzdal (petite commune au nord-est de Moscou) où nous avaient invités la société Simple (Mr Korneev), partenaire du WWS, on pourra visionner l'interview d'Henri Marionnet, loin d'être techniquement parfaite.

Explications et réflexions

D'abord, on travaille uniquement avec le nouveau Sony RX100, un superbe compact qui vient de sortir avec l'avantage d'avoir une puce presqu'aussi grande que celles des reflex. Un monopied pour éviter de bouger, et cela semble donc suffisant. Bref, on ne fera pas encore du Godard ou du Fellini.

Ensuite, sujet à discussion : vaut-il mieux préparer des questions, en parler avec l'interviewé ou tout faire à chaud, sans montage ou rattrapage et livrer les résultats filmés tels quels. On devra alors subir des redites, des fautes de français, des bafouillages. A vous de le dire !

Prochains films

S'il accepte que je le mette en ligne, une conférence de Michel Bettane, faite à la Villa d'Este, où je lui demandai une présentation de la Bourgogne telle qu'elle est actuellement.

Ensuite, mes deux vidéastes vont essayer de sortir quelque chose de correct de ce que j'avais filmé en Chine, lors de ma visite à Emma Gao, la productrice à la tête du Domaine Silver Heights.

Et ma foi, si cela ne vous intéresse pas, suffit simplement de ne pas activer le lien sur cette adresse YOUTUBE. 

Non, non : ce n'est pas encore en 3D. Si, si, c'est en couleurs :-)

MUSIQUE

PS : pour très sérieusement remettre les choses en place (côté musique), et surtout pour ceux qui n'aiment pas Wagner, allez écouter un air sublime de Tristan : ICI.

Par principe, j'ai simplement horreur de ces découpages en tranches que je considère comme du sabotage. Wagner, plus que d'autres, n'offre ces moments sublimes qu'après de longues (parfois trop longues) séquences qui peuvent en énerver plus d'un. Mais alors, quels moments ! Bref : pour être un peu trivial : il y a des choses qui se méritent.

Là, ce sont les vacances, et je vous donne l'accès au pur chef d'oeuvre. Un moment d'égarement dans mes principes. On ne m'en voudra pas trop !

Les puristes ont le droit de préférer Flagstad (ICI) ou Kerstin Thorborg (ICI).Il manque cependant la version d'une des plus belles wagnériennes (heureusement dispo sur divers CD) : Waltraud Meier. Sur la version Zubin Mehta, mais surtout sur le DVD de la version Barenboim/Chéreau pour l'ouverture de la Scala en 2007.