Les deux pétrolières avaient signé la semaine dernière un partenariat pour l’exploitation en commun de gisements, en particulier dans la ceinture de l’Orénoque, au Venezuela.
L’intérêt manifesté pour les Malouines, trois mois après la nationalisation d’YPF (qui s’était faite par l’expropriation de l’espagnole Repsol), relance le différend entre l’Argentine et la Grande-Bretagne. Plus tôt cette année, l’Argentine avait averti qu’elle engagerait des poursuites judiciaires contre les compagnies britanniques qui explorent les fonds marins au large des Malouines. Le pays revendique toujours cet archipel contrôlé par le Royaume-Uni et dont les réserves pétrolières, actuellement estimées à 8,3 milliards de barils, pourraient atteindre 60 milliards de barils.
source : commodesk
analyse de la rédaction : Les sources de pétrole en Amérique du Sud semblent de plus en plus inépuisable, après Petrobras qui compte exploiter les gigantesques réserves sous-marine au large de Rio de Janeiro, l’Argentine semble relancer son économie via ce biais. Le Venezuela n’est pas un inconnu dans le monde du pétrole, il représente le second plus grand producteur des pays de l’OPEP et influe politiquement sur l’ensemble de la planète. Ce regain d’intérêt en amérique du Sud pour le pétrole pourrait repositionner le continent sur l’échiquier mondial en faisant la nique au Moyen-Orient actuellement leader mondial.