Le défi de Jean Charest

Publié le 05 août 2012 par Veritejustice @verite_justice

 

Jean Charest met au défi le nouveau candidat vedette de la CAQ, Jacques Duchesneau, de prouver ses allégations à l’égard du financement du Parti libéral du Québec (PLQ).

Le chef libéral estime que de lancer des allégations en l’air sans prouver ses dires est irresponsable.

Monsieur Charest, Vous n’êtes surement pas dans savoir que de dire la vérité au Québec est maintenant banni sous peine de nouvelles lois ou d’injonctions permanentes visant à bâillonner les citoyens ? Voyons vous avez vous même introduit la loi 78 que la Commission des droits de la personne considère comme bafouer notre charte des droits et libertés.

Loi 78: Bâillon envers les étudiants, l’avenir du Québec mais égorgeant les citoyens au passage.

Injonction permanente

Moyens légaux pour les entreprises du Québec de taire le citoyen qui dénonce mais moyens légaux au gouvernement de ne pas prendre ses responsabilités.

Prenons 3 exemples alors que dans mon cas preuves à l’appuis, je dénonçais et ou ma récompense fut le bâillon.

Regardons maintenant alors que l’histoire se répète envers le site Internet Les Magouilleurs.com ou ce citoyen met ne ligne des jugements publics de décisions rendues en déontologie policière pour ensuite se faire poursuivre pour 75 000 $ et en bonus une injonction permanente  par l’Association des policières et policiers du Québec.

Le dernier exemple fut encore par notre système parlementaire ou cette fois ce fut une tentative de faire fermer le site Internet Libéraux.net

Et maintenant vous demander à Jacques, l’incorruptible, Duchesneau de prouver ses dires ?

Voyons donc la seule vérité au Québec est que si vous l’a dite on vous bâillonne…..

Un Québec Libéral est un Québec ou le citoyen est réduit au silence!

Monsieur Charest, les citoyens du Québec vous lance le défis de leur côté de partir dans Le Grand Nord et ce au point le plus loin possible…

Au pire garder une place dans vos valises pour les juges qui nous bâillonne….

Un peu d’histoire

À son arrivée au pouvoir, Jean Charest a modifié la procédure de nomination des juges en permettant au Conseil des ministres d’avoir accès à la liste des candidats.

Le ministre de la Justice, qui gardait cette liste pour lui auparavant, est maintenant exposé aux pressions politiques de ses collègues.

La commission Bastarache, qui a été déclenchée au lendemain des allégations de Marc Bellemare, a couté 6 millions $ et traitait de l’influence qu’auraient exercée certaines personnes liées au financement du PLQ dans le processus de nomination des juges, alors qu’il était en poste de 2003 à 2004 dans le Gouvernement de Jean Charest.

Le rapport de la commission a révélé que le processus de nomination des juges manquait de transparence et que le processus était perméable aux influences, notamment aux allégeances politiques des candidats.