Déjà 2 mois que nous n’avons plus de télé. En fait on a toujours une télé, c’est le câble qu’on n’a plus depuis un genre de gros malentendu avec une certaine compagnie de télécommunication.
Pas de câble l’été, y a pas mal rien là. Avec Tou.Tv, Apple TV et les Olympiques qu’on peut même voir en direct sur le web, on s’en sort très bien. Et, pour compléter tout ça, on a décidé d’en profiter pour essayer Netflix. Pour les profanes, Netflix c’est un gros club vidéo virtuel qui coûte 7,99$ par mois pour regarder tous les films que tu veux. D’accord, la notion de nouveauté est à géométrie variable, sauf qu’à ce prix-là on rentre quand même assez rapidement dans son investissement.
La catégorie qui s’apparente particulièrement à un gros terrain de jeux pour moi : les documentaires. Juste faire le tour des films disponibles, m’a fait réaliser que j’en avais pour des heures si je prenais le temps de tout regarder ce qui m’intéressait. Du matériel récent, comme du stock un peu daté qui nous permet de faire du rattrapage (ben non, on n’avait jamais vu Super Size Me).
Hier, on s’est concocté un programme docu-ciné assez intéressant. Tout d’abord Don’t You Forget About Me qui, vous ne l’aurez peut-être pas deviné, est un documentaire sur John Hugues et son oeuvre, les Breakfast Club (d’où le titre), Ferris Bueller, Pretty In Pink et cie. Inégal, mais le plaisir de revoir des scènes des films cultes de sa jeunesse compense amplement.
Comme 2e film : The Greatest Movie Ever Sold de et avec Morgan « Super Size Me » Spurlock, qui démontre comment financer un film grâce à des commanditaires toujours prêts à être généreux en échange d’un peu (beaucoup!) de visibilité.
Pour le moment, on ne s’ennuie vraiment pas du câble, en espérant que ça réussisse à durer un peu lorsque la saison télévisuelle d’automne débutera!