Editeur : Stock - Date de parution : 18/08/2010- 208 pages
Angèle a été élevée jusqu'à l’âge de cinq ans par sa grand-mère Mila car sa mère Helena était en prison. De ce bâtiment où les femmes étaient emprisonnées, il ne reste rien. Un nouveau décor a pris place : des balançoires et des nouveaux quartiers. Helena s’est toujours montrée froide et distante avec Angèle. A la mort de sa mère, Angèle découvre dans des lettres qu’elle est née en prison. Angèle va tout faire pour découvrir l’histoire de sa mère et celle de naissance.
Malgré l’écriture fluide, je n’ai pas été convaincue par ce livre. Dès le début, Le rythme trop lent à mon goût instaure ajoute un parfum de mélancolie et de nostalgie au goût bien amer. Helena est froide, distante même avec sa propre fille Angèle comme si elle représentait un fardeau et non un espoir et l’avenir. L’histoire racontée par le journaliste qui avait suivi à l’époque le procès m’a semble irréelle. Seul personnage crédible et qui a retenu mon attention, la grand-mère de Mila : généreuse et attachante.
Je suis passée à côté de cette lecture et je n’ai ressenti que de l’indifférence…sans comprendre le chagrin d’Helena
.