Et voici le 13ème AtheWeekend. Une fois n’est pas coutume, on vous a reservé neuf tracks sans aucun lien musical. Que ce soit la folk de Lovepark, le dubstep acide Camille Martin ou la pop matinée de pianos et violons de Rich Aucoin, on vous laisse entre de bonnes mains le temps du weekend !
Lovepark – How do I see ?
Pour commencer : Lovepark, c’est la petite surprise qu’on trouve par hasard au fil de Spotify, de Soundcloud, de Bandcamp ou de The Hype Machine. Une track qui vient rapidement s’infiltrer dans vos oreilles, vous laisse de coït avec alors que le riff n’avait de l’air de rien. Ravageur est le mot, How Do I See est la chanson. (Louis L)
D I A N A – Born Again
D I A N A et son Born Again, sorti de nulle part sur la toile mais tombé par fortune dans mes oreilles. Sa voix me rappelle à certains moments celle de la chanteuse d’un groupe que j’affectionne énormément, The Organ. Et cette basse, colonne vertébrale ou poutre porteuse comme diraient les professionnels du bâtiment. Fou. (Louis H)
Camille Martin – Trust
Camille Martin fait partie de ces talents du net dont on est surpris de constater qu’ils ne comptent qu’une poignée de followers. « Trust » est loin d’être son morceau le plus récent mais ce petit côté 8-bit lui permet de se placer dans mes favoris. Une chose est sûre, ce cher rennais n’a rien à envier aux grands noms de l’électro. (Ken B)
Madeon – Finale
L’infatigable Madeon, cet artiste nantais qui nous livre à chaque fois une musique house tintée de pop. Deux ans après « for you » qui avait cartonné, Madeon garde les mêmes beats toujours entrainants. Nous pourrons retrouver Madeon sur plusieurs festivals en fin d’été (ELEKTRICITY à Reims le 29 septembre et MARSATAC à Marseille le 28 septembre). (Pauline Jeannette)
Destiny’s Child – Say My Name (Cyril Hahn Remix)
C’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures confitures ». Voilà un dicton que Cyril Hahn a su appliquer, en nous offrant un incroyable remix du »Say My Name » des Destiny’s Child.
Ode à la nostalgie des années pré-2000, le morceau délaisse cette fois tout le côté R&B/pop au profit d’une ballade rythmique représentée par de fortes basses et un beat puissant. Le tout formant ainsi un sentiment de délicatesse, nous envoûtant jusqu’à la prochaine écoute. (Oliver Cron)
The Luyas – Fifty Fifty
Si Victoria Legrand avait eu une voix plus aiguë, on aurait eu du mal à différencier la musique de Beach House de celle de The Luyas. L’album de ces derniers est annoncé pour Octobre. « Fifty-fifty » est un morceau, comme son nom l’indique, scindé en deux parties. Sombre et lourd dans les premières secondes, il sait s’éclaircir au fil des mélodies et de l’angélique élocution de la demoiselle. Si vous faites partie des radins toujours à la recherche du bon plan, sachez que le morceau est en téléchargement gratuit. (Loïc Bruno Marszalek)
Is Tropical – Land of the Nod (Total Warr Remix)
Comment rendre plus tropicale une chanson écrite par Is Tropical ? Demander à Total Warr de la remixer. Le duo parvient ici à rafraîchir le low-fi de l’original. Il y ajoute une petite touche qui, loin d’être manquante (au vu de la qualité la track d’origine), renouvelle agréablement la chanson.
On écoute… et c’est putain d’bon ! (Joseph Lanfranchi)
Rich Aucoin – It
Wu Lyf c’est fini…Mais consolez vous avec « it » du canadien Rich Aucoin ! On retrouve ici les ingrédients qui ont fait le succès des Manchuniens: un son résonnant, un orgue et des percu omniprésentes, seul manque la voix si singulière d’ Ellery Roberts…Rich Aucoin était de passage aux vieilles charrues cette année (petit festival report à venir) (Kévin Osmont)