Déporté par la foule, refoulé par la vague. ambiance: bruit et rage d'exister que je partage souvent dans mes errances, mes demandes.
Sauf qu'aujourd'hui, dans l'instant qui me représente, j'ai d'la fantaisie de mers calmes, léger clapot échoué sur le sable, et le vent qui cajole les poils sous le bras. (un peu trop personnel non?)
La veille de mettre ce journal improbable sur l'espagnolette, de laisser refroidir mes transistors et de filer à la bretonne, je lâcherais, pour une fois, la cérémonie des Escales nazairiennes et de ses grands yeux noirs.
Quand je n'en suis pas, la foule me fait peur et quand j'en suis, j'oublie ou j'apprécie.
On emporte avec soi ce qu'on peut supporter et au croisement des autres:
Quelques politesses de priorité.
Ce serait la moindre des choses...
Merci de re/venir.
A bientôt si le temps nous en dit.