"Il n'y a rien de bon dans ce qu'elles ont fait. Néanmoins, je ne pense pas qu'elles doivent être jugées trop sévèrement pour ce qu'elles ont fait", a déclaré en bon père de famille Vladimir (pour faire la vaisselle) Poutine à propos des punkettes féministes de Pussy Riot. Faut dire qu'il n'avait pas trop apprécié la prière anti-lui-même des rebelles encagoulées qui le sommait de dégager du pouvoir, elles avaient été arrêté immédiatement et risquent la prison ferme grâce à une loi que Poutine a fait voté contre ceux qui n'aiment pas les Poutine en général. Maintenant, vu le barouf que cette affaire a fait sur les réseaux sociaux, Vladimir Poutine se veut tout gentil pépère pendant son séjour à Londres, il a indiqué qu'il espérait que les Pussy Riot "tireraient elles-mêmes les conclusions", sinon panpan cucul. Mais bon, on se doute bien qu'une fois que Poutine sera rentré au pays et tout le monde aura oublié l'affaire, les trois membres du groupe en détention vont se prendre 30 ans de prison par le gentil tribunal compétent qui va être très compréhensif avec ces opposantes au jovial président russe.
Par contre elles ont réussi un truc énorme: se faire connaître en peu de temps dans le monde entier (celle en robe jaune a l'air méritante), ça a l'air d'être sympa, ça me donne envie de les voir en concert. Je me prévois du temps libre pour dans environ 30 ans au cas où elles joueraient sur Paris.