Bonjour tout le monde! Eh eh, z’avez vu, j’ai réussi à combler mon retard!
Eh bien, voici donc le défi de la semaine: parler des Séries que j’ai arrêtées en cours de route.
5. CSI Un peu partout
Las Vegas, New-York et Miami
Au début, c’est vrai, l’attrait était indéniable. Les CSI Las Vegas nous emmenaient sur des scènes de crime bien gores, le meurtrier n’était jamais celui qu’on pensait, bref, c’était cool. Puis, on a inventé Horatio Caine, ses répliques à la con, et ses lunettes de soleil. On a tous fondu pour son humour, chez moi. Enfin, ce cher Gary Sinise, que j’aimais depuis Mission to Mars, est apparu, et tout est parti en vrille. A partir de la cinquième saison, l’attrait indéniable du début avait fondu comme neige au soleil. J’ai essayé de résister, mais rien n’y a fait. Au revoir, Grissom, Horatio et Mac. A la revoyure!
4. Plus belle la vie
Maintenant, on peut tous dire “Poubelle la vie”
On ne rit pas. Oui, au début, j’adorais cette série bien franchouille qui me faisait penser à EastEnders en dix fois mieux. Et puis, au fil des ans, les intrigues ont commencé à devenir cons, plus aucun couple n’a tenu la distance, et donc, c’est devenu chiant. Aujourd’hui, je ne regarde plus que de temps en temps. Parce qu’ils ont quand même ajouté un appât à la recette de base: Boher et Samia.
3. NCIS
Dans le tas, y a un Roi des Elfes
J’adorais, pourtant, Mark Harmon et son humour de merde! Tony, McGee(k) et Ziva, Abby, Docky et Palmer. Et puis, comme pour tout, ils ont rajouté des intrigues et des saisons de trop. Et puis, on attend toujours le couple de l’année.
2. Private Practice
Le seul club échangiste montré aux enfants
La petite soeur de Grey’s Anatomy m’avait super bien plu au départ, grâce à cet espèce de pilote balancé entre deux épisodes de GA. Addison, elle me faisait de l’oeil avec sa gentille franchise et sa poisse internationale. Mais ban, quand au bout de deux saisons, tout le monde est passé dans le lit de tout le monde, ça commence à devenir franchement chiant…
1. Torchwood
La vie est trop injuste…
La spin-off de Dr Who, qui s’annonce elle-même pour adultes. C’est dire. John Barrowman, auto-proclamé showman de talent, a certes du talent à revendre (laissez-moi râler sur le fait qu’il est gay), mais il a un peu tendance à laisser son personnage…comment dire…se taper tout ce qui bouge (quoique, dans le cas où il s’attaque à James Marsters, aka Spike, on le comprend). Un jour, j’ai lu que Jack Harkness pourrait même se taper une chaise. On est pas loin de la vérité. Et pourtant, y a Burn Gorman dedans. Comme quoi…