Un nom pour un autre de Jhumpa LAHIRI
Présentation de l'éditeur : Apparemment, c'est une simple histoire de nom, un caprice d'enfant. Lorsqu'il entre à l'école, près de Boston, Gogol refuse d'être appelé autrement
que par ce surnom improvisé par son père à sa naissance. Non, il ne sera pas Nikhil, il ne veut pas se présenter sous ce prénom bengali. Bannissant ces deux syllabes qui le rattachent à la terre
natale de ses parents, Gogol grandit comme un jeune Américain sous leur regard à la fois déconcerté et fier. Il joue au base-ball, écoute du rock, fréquente de jolies Américaines... Mais à la
mort de son père, quelque chose se rompt en lui, révélant cette identité qu'il avait niée. Les deux syllabes oubliées, Nikhil, résonnent alors avec une profonde familiarité... A travers
l'histoire de la réconciliation de Gogol avec son prénom, décrivant les désarrois d'une famille déracinée, Jhumpa Lahiri, révélée par L'Interprète des maladies, lauréat du prix Pulitzer en 2000,
offre une évocation subtile et sensible des conflits intimes liés à la double
culture.
Les raisons de mon abandon : c'est long, lent, dense, ça n'en finit pas, et comme j'ai une PAL faramineuse, avec des romans très tentants, j'ai laissé là ce brave Gogol et ses soucis d'identité. malgré tout le sujet de l'émigration est abordée de façon intelligente, le lecteur ressent durement les difficultés liées à une adaptation dans un pays et une culture radicalement différentes de ceux d'origine...