C'est l'un des plus grands monastères de la secte Gelugpa (les bonnets jaunes) du bouddhisme tibétain;
Reportage en photos.
Deux moines tibétains
Un vieil homme tibétain attend son fils venu se recueillir dans un temple
Le monastère de Kumbum se trouve en Amdo, la région culturelle du Tibet du nord-est, à 25 km au sud de Xining, capitale de la province de Qinghai.
Chinois et tibétain sont les langues officielles de la province autonome
Tous les habitants viennent ici en pèlerinage
On y trouve également des minorités Hui (qui composent 25% de la ville de Xining)
Mao en offrandes au bouddhisme tibétain..
Le premier temple fut construit en l'honneur de Tsongkapa, en 1560, et a été fondé par le 3e Dalaï Lama, vers la même époque que le monastère de Litang.
Selon la tradition, à cet endroit même, un arbre de santal blanc a poussé du sang tombé à terre lors de l'accouchement, qui se déroulait à même la terre battue.
Par son pouvoir, Tsongkapa aurait marqué par la suite les 100 000 feuilles de cet arbre d'images des déités tibétaines, et ses branches et son écorce d'autres empreintes et des « Six Écritures » (c'est-à-dire les six syllabes de om mani padme hum).
C'est d'ailleurs la raison du nom du monastère : l'expression tibétaine kumbum (translittération Wylie : Sku 'bum) signifie « cent mille images saintes ».
Le Chorten, de 13 mètres de haut, marque l'entrée du temple
Le temple entreprend des travaux de restauration amplement mérités
A son apogée, il disposait de plus de 800 salles et pouvait héberger plus de 3600 moines.
Pendant la période communiste, le monastère fut fermé un certain temps, même si les bâtiments furent protégés pendant la révolution culturelle.
D'importants travaux de restauration ont été entrepris, suite au tremblement de terre de 1990.
Le festival en l'honneur de Tsongkapa a lieu du 20 au 26 du 9e mois.
Femmes tibétaines au repos
Un coq sur un lapin sur un singe sur un éléphant, comme symbole (lequel ?) tibétain..
Le Pavillon de Dafanzhang
Les différents temples du monastère sont tous chargés d'histoire et de légendes qui font de ce temple une bonne introduction au bouddhisme. Le grand hall de méditations soutenu par 108 piliers est notamment remarquable, il contient de nombreuses sutras et thangkas.
C'est le lieu qui aurait vu naitre la tradition de la sculpture en beurre de yaks. Ces dernières sont changées à l'occasion du nouvel an et constituent sans doute les oeuvres d'art les plus étonnantes de la visite.
Tibétain, mandarin et pinyin...
Les moulins à prière tibétains
On enlève ses bottillons avant de pénétrer dans la salle des prières
Visage buriné par le Soleil d'une vieille Tibétaine..
Découverte de la technologie mobile par deux Tibétaines
Un moine moderne !
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