Pour le centenaire, d’une tête aussi présente au coeur de son siècle, qu’illustre de par l’attrait de ses pensées, ses idées et son ancrage dans la marge d’une perspective d’approche de la monnaie, très entraînant pour la théorie économique, je ne pouvais m’empêcher d’enfoncer le clou de la dissection à la suite de V Vodarowski, afin que de l’usage que nous ne cessons de faire de la théorie quantitative de la monnaie, notamment la distinction qu’il essaya (M. Friedman)d’établir entre “sa quantité réelle et celle nominative”, on parvient à toujours mettre en exergue, une théorie, laquelle bien que faisant l’objet de vives critiques, pour les autres courants, aura fait accroître, une intégration plus accrue de l’intégration de la monnaie, dans la conception globale de l’économie, ses grandeurs et principaux équilibres. N’est-ce pas, un spécial hommage?