Le Vestiaire et ses journalistes au chômage ne chôme pas durant ces JO et ce n’est même pas que pour se palucher à 00h30 devant le beach-volley féminin. Pourtant ça nous cale sur le décalage horaire de notre prochaine destination de vacances où l’on passera la douane, la France étant représentée par Alain Schmitt en judo.
Vive le Jhudoh !
Il était temps, après le foot, le judo modernise enfin son code moral. Sur proposition de l’Arabie Saoudite, la politesse, le courage, la sincérité, l’honneur, la modestie, le respect, le contrôle de soi et l’amitié seront bientôt rejoint par le port du foulard pour couvrir la laideur des athlètes. On attend avec impatience l’autorisation du viol. C’est Georges Frêche qui va être content. Faudra-t-il pour autant bientôt tourner les tatamis vers la Mecque ?
Du plomb dans le jonc
Gourcuff exempté, on se demandait pourquoi Têtu avait des envoyés spéciaux accrédités à Londres. Maintenant on sait il y a du plongeon synchronisé ou la passion de se faire décoller la rétine au chlore et le sphincter par autre chose. Mini slip, tripotage épaule contre épaule dans le pédiluve après l’effort, huilage de torse sous la douche. Laurent Luyat avait l’air d’apprécier. Et Yannick Agnel ?
Cheval d’orgueil
Les chevaux olympiques ne sont probablement pas tous issus des hybridations de Braindead, Laure Manaudou non plus. Mais comment expliquer la réduction en bouillie des décors et des cavaliers du cross qui a décalé l’horaire de l’épreuve ?
Elle chie Corée
Après une histoire marquée par l’occupation de son territoire à mainte reprise, la Corée se rebelle enfin en occupant une piste d’escrime aux JO. C’est déjà un début.