Au cœur de l’été, réfugié derrière une formule voulue pompeuse ou trompeuse, je viens ici tenir procès aux nombreux esprits chagrins qui n’ont pas manqué de perturber mon équilibre émotionnel.
Les hommes, lâches ou surfaits, contreviennent à la pensée qui veut que tout bienfait soit prodigué. Entre fatigue et lassitude, notre vie révèle parfois quelques tortueuses méprises qui viennent perturber les humeurs des uns et troubler la quiétude des âmes de tous les autres.
Il ne faut pas être penseur ou philosophe pour dire que tout arrive à qui sait attendre. Le repos des hommes -comme de leur esprit malingre- pointe aussi son nez pour les contraindre à la sagesse et la sérénité.
Profitons d’une période bien creuse pour divertir nos cœurs et émerveiller nos yeux. Plongeons dès à présent dans le grand bain des merveilles que le monde réserve aux hommes de bonne vertu.
Dès lundi, je vous invite au fil de ces pages à un voyage de mille et une curiosités. Un voyage d’instants paradisiaques, que je ne voulais manquer de vous faire partager !
A la manière de Voltaire : « Le paradis terrestre est où je suis ».