Non seulement elle a été incapable de transmettre une piste-son vaguement acceptable et reproduisant réellement la musique de la cérémonie d’ouverture des JO, mais en plus elle nous a infligé la présence du chef Massimo.
Un chef qui n’a cessé d’apostropher son collègue par des centaines de « alors mon vieux » répartis entre des commentaires très proches du néant télévisuel.
Si la RTS n’a « que » 28 collaborateurs sur place en comparaison de la gigantesque machine de NBC, on espère qu’ils feront mieux que leur patron qui devrait renter rapidement dans son bureau douillet du bout du lac.