Quatrième de couverture (livre des morts) :
New York, mai 2009. Une série de morts inexplicables fait les gros titres. Rien ne semble relier les victimes, ni leurs vies ni les circonstances de leur décès. Rien, sinon une carte postale de Las Vegas, qu’ils ont tous reçue. Une carte postale avec une simple date. Celle de leur mort…
Will Piper, profileur au FBI, n’a jamais rien connu de tel. Commence alors pour lui un véritable casse-tête pour mettre le doigt sur la plus invraisemblable des vérités : tout serait-il écrit à l’avance ?
Quatrième de couverture (livre des âmes) :
1947. De mystérieux manuscrits médiévaux sont retrouvés dans les ruines d’une abbaye de l’île de Wight. Winston Churchill demande au président Truman de les prendre en charge. Celui-ci fait construire dans le désert du Nevada une base top secrète destinée à les abriter et à les étudier. Son nom : Area 51.
2010. Un nouveau manuscrit fait surface à Londres, lors d’une vente aux enchères. Will Piper, ancien profiler du FBI, est engagé par d’anciens membres d’Area 51 pour en percer les secrets. Will y découvre, dissimulé dans la reliure, un poème écrit en 1581 par un de ses anciens propriétaires, William Shakespeare. Plus qu’un poème, c’est une véritable carte cryptée, relative au mystère des manuscrits. La résolution des énigmes qu’elle renferme nous transporte autour de l’année 1530, à Paris, où deux hommes commencent à faire parler d’eux, Jean Calvin et Michel de Nostradamus.
Nous retrouvons ici toute l’intensité et le sens incroyable de l’intrigue qui ont fait le succès du “Livre des morts”. Jeu érudit autant que thriller palpitant, “Le Livre des âmes”, traduit dans plus de vingt-cinq pays, a été salué par une critique unanime.
Encore un thriller ! Mais un très bon thriller !! Ca bouge, ça vit, ça fonce dans tous les sens. Le premier tome est l’enquête première, tandis que le second tome donne de la profondeur et un coté bien ésotérique à l’ensemble. Et tout cela fonctionne extrêmement bien. Après, j’avoue que parfois, il manque un brin de suspense : certaines choses, une partie de l’énigme se devine relativement aisément mais cela n’enlève en rien au plaisir de la lecture. Les personnages sont bien amenés, attachants et le mystère est suffisamment complexe pour qu’il reste des parts d’ombre que l’auteur lève fort heureusement !
A lire en sirotant un verre, au soleil. Parfait pour les vacances !