Conspiracy 365 // Saison 1. Episode 7. July.
Alors que jusqu'ici on s'était principalement préoccuper de la fuite de Cal, il était temps que l'on parle enfin du sujet principal : les Ormond Singularities. On ne sait pas encore exactement ce
que cela engendre, ni comment, ni pourquoi, mais je trouve le rythme toujours aussi soutenu et agréable à suivre. Sa quête de réponse va le mener dans un couvent. Même si l'épisode ne se
concentre pas toujours sur une fuite sans arrête possible, Conspiracy 365 s'amuse plutôt à donner de l'envergure à son mystère. Ce qui est évidemment très appréciable. J'ai beaucoup aimé la
manière dont est ficelé l'épisode. C'est efficace et agréable à suivre. On ne s'ennui pas. J'ai bien aimé la dynamique du début de l'épisode qui tente de clairement nous replonger dans l'univers
de la série et sa mythologie. Un peu à l'instar de l'épisode dans l'hôpital psychiatrique, on isole Cal afin de se concentrer sur le développement du personnage. "July" était donc une très bonne
idée afin de faire une transition légère vers la suite de la saison.
Nous sommes déjà à la moitié de l'année (et donc à la moitié de la saison), il est donc temps de poursuivre les aventures de notre héros de la meilleure façon qu'il soit. Notamment en nous
imposant quelques scènes d'action. Celle de la mort de cet homme qui lui poursuit depuis quelques temps était une aubaine pour nous replonger dans cette insécurité dans laquelle Cal baigne depuis
le début. Ce qu'il y a également de bien dans cette affaire c'est que la police va commencer à se poser des questions au delà de Cal. Pourquoi est ce que cet homme était après lui, et surtout,
comment il est réellement mort (même si l'on sait que ce n'est pas Cal qui l'a tué et que c'était un simple accident). Bruno reste donc le seul survivant de cette bande de deux malfrats.
Maintenant j'attends de voir ce qu'il pourrait faire en solo. Toujours à la botte de Vulkan, je pense qu'il y a là aussi de bonnes choses à découvrir. Un peu à l'instar de Oriana qui continue
elle aussi d'épaissir son récit avec facilité et intérêt.
Note : 6/10. En bref, le mystère s'épaissi.