Neoleadership Guinée: Site d’analyse et d’information de la Guinée

Je crois qu’il faut constater d’entrée, que le contexte actuel dans lequel, se trouve l’échiquier politique  Guinéen, notamment la mouvance présidentielle et l’opposition démocratique, est suffisamment concevable, non plus en terme de déduction quasiment avérée à obstruer la bonne conduite du pays, par le nouveau régime, mais disons, dans la mesure de son pouvoir de coercition et d’infléchissement devant sou tendre toute action, vouée à rehausser la gestion multidimensionnelle de l’état, à ne surtout pas s’en extraire la cervelle, car, reconnaissons d’emblée, pour autant, le combat contre les régimes précédents qui se sont précédés au perchoir, consista à ausculter la grogne de la population impuissante face à un pouvoir usurpateur et prédateur, ainsi pour mieux les oeuvre s d’infléchissement et d’extensions pragmatiques des procédés de gestion à tout point de vue, ainsi que la transcription de cette auscultation, s’avèrent au summum des terrains de convergences et de divergences, ayant toujours nourris, les confrontations doctrinales, idéologiques  et théorico-institutionnelles qui plantent le décor insoluble de l’architecture politique et l’armature structurelle.

Sur ce, force de conviction nous oblige à entrevoir l’ascension  politique du RPG et son leader, au travers d’un certain nombre de réalités jalonnant le parcours de son leader, qu’on a tous appris à connaître et à aduler, soit nous en France, et d’autres, ailleurs et en Guinée, malgré les a prioris, ses faux-pas à mettre au compte de la rudesse du combat qu’il eût à mener, son aura toute articulée, autour  de préceptes fondamentaux articulés à la modulation de la succession en fonction de l’ancrage des positions observées, incarnées, et des procédés qui ne peuvent s’offrir que loquacement au leadership, lors qu’il naît dans des conditions qui ne le laissent s’émousser et s’éclore, qu’auréolé de la tripe de la décence relationnelle à haute échelle, entendons par là, les réseaux relationnels internationaux, qui ont accompagné, la plupart des changements politiques majeurs sur le continent, lesquels, quoi que, vus et entrevus, sous la coupole du lobbying, fournissent au leadership Africain, une marge conséquente, de sa dévolution en tremplin de la renaissance des nations et l’esquisse de la volonté d’exploiter les rapports de force, pour parvenir à l’assortir, d’un réceptacle et un facteur d’évolution au plus dur des combats qui nous mènent de l’estrade de l’indécision à l’autel du triomphe des aspirations les plus pourvues à l’atteinte du bien-être et la prospérité dans son ensemble.

En cela, nous ne saurions renier, les bienfaits et les apports confortables de la démocratie dans le processus de construction et de consolidation, des grands équilibres, sur lesquels reposent le socle de la nation Guinéenne.

Ceci dit, bien que nous nous attelons, à l’apparition de chaque lueur du jour à conférer un éclat particulier à la gouvernance du RPG, à travers lui, le pays tout entier, tel que ce fut le cas, lors de notre adhésion commune aux idéaux, qu’il magnifie aujourd’hui à sa guise et qu’il se plaît à traîner en bandoulière insaisissable d’une aptitude à gérer peinant somme toute à s’affirmer et que par l’emploie et l’exercice abusifs de certaines prérogatives, ne corroborant nullement, les nouvelles orientations politiques, couplés, aux errements initiaux à l’origine, d’une entame sur fonds de tintamarre et de divergences, qui mettent à rude épreuve, les perspectives s’annonçant dans la foulée, pour baliser à ne point pouvoir s’offusquer des questions minimalistes constatées à chaque fois qu’il est demandé de conclure une transaction ou signer un contrat, comme, on en a jamais appris à se défaire du tripatouillage, puis que du renouveau, on entendait aussi l’innovation, le reprofilage des postes décisionnels et à hautes responsabilités, il semble de toute évidence qu’on en vient à butter sur l’aile dure du parti, laquelle est vouée, de façon consciente ou inconsciente, à saper les fondements de toute une gouvernance, par ses méthodes expéditives, son refus de se défaire des abstractions infructueuses, son inscription dans le moule de la vengeance et sa tendance quasiment absolue à l’excellence ethnique, alors même qu’elle ne se pose nullement en alternative pour rééquilibrer les aversions tentaculaires d’un régime, qui veut se pousser dans la triple arcane des aboiements intempestifs.

De là, pour qu’on revoit les points de jonction des idéaux, y compris  les points de divergence, à l’ordre de tous les débats politiques, des tractations  qui en résultent et leur blocage, nous vient à l’idée, comme une conjecture, un devoir patriotique et une grandeur d’esprit, nous départissant des affres des terrains minés du dénouement des conflits qui se font jours, tout en incitant nos plumes, à renaître des cendres d’antan, à savoir, barrer la route à l’incompromission, à l’insoluble divagation des sens et à la dictature, quelle que soit la forme sous laquelle, elle entend s’illustrer….

En définitive, la situation Guinéenne, nous lègue comme expérience, les multiples cas d’effractions, intentés aux ordres institués partout ailleurs en Afrique, (la Côte d’Ivoire, le Mali, la Mauritanie et tant d’autres), lesquels devraient nous fournir, les agrégats de la prévention et la gestion des conflits à l’échelle locale, en sachant que la crainte d’un coup d’état, n’est pas imminente en Guinée, notamment au regard des données actuelles, mais à observer de près, l’évolution des évènements, on trouvera de quoi, prévenir les dérives et s’abstenir de relocaliser le jeu politique, dans la fable et les vannes, des anciens systèmes en déclin, car, on aura vu, partout succédé un coup d’état à une crise politique nourrie par le manque de maturité, au Niger notamment…..

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