La présentation à la presse comportait plusieurs originalités. Elle n’était pas réservée aux journalistes, mais ouverte au public du Salon. Elle s’effectuait sous forme d’un débat sur le « manga de métier » animé par Albert Algoud, rédacteur en chef de Fluide Glacial et dont c’est le 58ème anniversaire aujourd’hui. Et elle se terminait par un jeu où les journalistes participaient, en présence d’un grand sommelier.
Je n’ai pas l’habitude de parler de manga sur ce blog, non pas que je n’aime pas ce genre, mais qu’il a bien fallu choisir une ligne éditoriale. Rien ne m’empêche néanmoins de faire part de découvertes intéressantes. Le manga est riche d’une très grande variété de styles et d’inspirations. Son marché en France est l’un des plus dynamiques au monde. Pour l’essentiel, les albums qui paraissent ont déjà une carrière au Japon, voire en Co
Comme je peux totalement m’identifier au héros sur ce plan là, je vais pouvoir mesurer la force du récit. D’après l’œnologue présent, le manga évoque le sujet avec beaucoup de précision comme savent le faire les Japonais quand ils se passionnent. La traduction a été relue par Jacques Glénat lui-même fin connaisseur de vin.
Pour finir, j’ai participé au test en vrai avec mes collègues et je n’ai pas été surpris de terminer… bon dernier ! Il fallait répondre à des questions techniques, reconnaître des parfums et découvrir un cru. C’était très amusant et franchement une expérience intéressante. Prochainement, je vous reparle du manga et verrai si je sens que je progresse dans ce domaine ! Il y a du boulot...