Hors les murs des lieux comme le musée la médiathèque (qui eux ont es actions ponctuels déjà bien cadrer). Oui, offrir à vivre des choses un peu hors du commun.
Sinon (rire), cela est à ce demandé si les artisans - acteurs du tissu associatif lié à la culture est approchant parte en vacance en oubliant derrière eux ceux, tous ceux et toutes celles qui reste à quai. Prétextant des vacances bien méritées aux vues de leurs travail, bénévoles sur l'année, OK. Oui, c'est à se demander si ceux-là n’ont pas le sentiment de laisser la ville dans une sorte d'abandon de festivités ? D'un côté il n'y a pas grand-chose pour les adultes en fait. Outre le centre de loisir qui fait ce qu'il peut pour occuper plus d'une centaine d'enfants en juillet - aout bons, c'est vrai, mais ils ne peuvent pas tous faire non plus. Et les bénévoles ne sont motivé que par les instigateurs de c'est mêmes associations qui œuvre déjà tous au long de l'année. Nous donnant l'impression parfois de se rendre, dans ce cas de désert culturel aoutien, comme d'une sorte de fait d'être "Indispensable". Alors je me dis ne pourrait-il pas être proposé aux maisons de quartier de crée des groupes qui, eux, tâcherais de faire vivre leurs "coins" et incité la population juillettiste et aoutienne à se retrouver pour des activités d'une autre sorte vécue en commun ? Ainsi, pourquoi ne pas se faire rencontrer nos anciens et nos jeunes sur des activités que les uns pourraient, faire découvrir aux autres. Mais bons, j'avoue, tout cela, et assez compliquer à mettre en place, etc. Bah, vous voyiez, il y a tout de même des choses à faire soit plus espacer mais bonnes. Donc, en conclusion (rire), contentons-nous de ce que l'on nous donne - offre et tâchons de par nous-mêmes de trouver des choses à faire comme d'un enfant qui dit, comme le chante "Le chanteur fou", "Le dimanche les enfants s'ennuient"…
Photographie : "Bernay en été" par le citadin et Chloè juillet 2012©®. Aucun lien pour cet article.